EPR : la cuve sous surveillance
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TRB : concepteur de solutions réfractaires innovantes.
NOUVELLE GENERATION DE BLOCS REFRACTAIRES POUR UNE ISOLATION SANS DANGER, RÉSISTANTE, À
HAUTE TEMPÉRATURE
Actuellement de nombreux fours sidérurgiques sont revêtus de garnissages isolants composés de fibres
céramiques réfractaires. Cette technologie résiste à des températures allant jusqu’à 1400°C. Cependant les
fibres qui la constituent sont classées CMR, c'est-à-dire Cancérigènes, Mutagènes et toxiques pour la
Reproduction.
C’est dans ce contexte que notre nouvelle technologie PUREBLOX 1400 a été créée. Elle répond aux nouveaux
enjeux sanitaires et environnementaux, techniques, et économiques du secteur industriel.
La solution PUREBLOX 1400 :
•Répond aux nouveaux enjeux sanitaires et environnementaux.
•Résiste à des températures allant jusqu’à 1400°C.
•A été imaginée pour vous faciliter la mise en oeuvre et optimiser les temps de montage
Quand je pense aux exigences qualité imposées dans le domaine du nucléaire pour le moindre boulon…il est difficile de comprendre comment de tels défauts sur l’une des pièces les plus critiques ait pu passer au travers !!!!
Des cuves de réacteur il s’en est fabriqué des centaines ..
Espérons qu’ils prendront la bonne décision…pour un avenir sécurisé
l’argent ferait-il oublier Tchernobyl (30 ans dans quelques jours) et Fukushima ?
Ces têtes pensantes ont-elles analysé le coût qui serait induit par une catastrophe nucléaire ?
L’ASN, qui doit subir pas mal de pressions, reste toutefois assez critique sur les propositions d’Areva
Tirés du rapport de 78 pages de l’ASN :
http://www.asn.fr/Media/Files/Rappo…
Page 63 : Le rapporteur estime qu’un dossier de non-conformité matériau n’est pas le bon cadre pour instruire de nouvelles méthodes de justification.
P 67 : en conclusion finale :
La démarche de justification qu’AREVA propose est une analyse du comportement mécanique à la rupture des calottes du fond et du couvercle de la cuve de Flamanville 3, fondée sur des essais menés sur une pièce sacrificielle représentative. Cette démarche pourrait mettre en évidence, le cas échéant, des marges significatives par rapport aux risques redoutés, qui permettraient alors de conclure que le procèss de fabrication confère des propriétés mécaniques au matériau d’un niveau suffisant pour prévenir ces risques.
Toutefois, cela ne permettra pas d’apporter la garantie de haute qualité de fabrication, qu’apportent l’utilisation de la meilleure technique disponible et une qualification technique satisfaisante, attendue pour un composant en exclusion de rupture tel que la cuve.