La fonderie et Piwi

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Par : piwi
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vendredi 06 Juil, 2018
Catégorie : Economie

Les élus au chevet des fonderies (Fonte et Aluminium) d’Ingrandes (86)

Le président de Grand Châtellerault Jean-Pierre Abelin (UDI) et les sénateurs de la Vienne Yves Bouloux et Alain Fouché (Les Républicains) ont visité vendredi la Fonderie Fonte. A la demande du président de celle-ci, Jérôme Rubinstein, ils se sont rendus, mardi, au ministère de l’Économie et des Finances « afin d’évoquer avec Jean-Pierre Floris, Délégué interministériel aux restructurations d’entreprises, les conséquences de l’évolution négative du marché de la motorisation diesel et les mesures qui seront prises par le gouvernement pour soutenir et accompagner les entreprises Fonderie du Poitou Fonte et Saint-Jean Industries, écrit le sénateur Fouché.

Le Gouvernement a aujourd’hui pleinement conscience de l’enjeu de ce dossier pour notre territoire, deuxième bassin industriel de la Région Nouvelle-Aquitaine. » Alain Fouché précise qu’il « posera une question d’actualité ce jeudi en séance publique au Sénat ».

Le président de Grand Châtellerault indique, lui, qu’il a « demandé (mardi à Paris) les mesures que le Gouvernement envisage en matière sociale, économique et financière pour faciliter la reconversion de l’outil industriel des deux fonderies d’Ingrandes, qui concentrent 900 emplois ».

(*) Saint-Jean Industries travaille assez peu pour la filière diesel, mais elle a besoin de sa voisine pour avancer (les deux sociétés mutualisent un certain nombre de moyens).

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1 commentaire pour : "Les élus au chevet des fonderies (Fonte et Aluminium) d’Ingrandes (86)"

  1. Je ne vois pas pourquoi aujourd’hui l’état français viendrait en aide pour sauver son industries alors que depuis que depuis Giscard tous les gouvernements ont fait aucun effort et meme ils ont rédigé des textes de loi notamment sur les apprentis pour qu’il ne puisse pas se former en travaillant à l’atelier de maintenance pour des questions de sécurité. Toujours en vigueur aujourd’hui par exemple à l’usine de Citroen Charleville dont l’état est un des actionnaires principal, un apprentis en maintenance n’a pas le droit de prendre des outils pour démonter un réducteur ou autre,c’est trop dangereux. Des lois rédiger par des Enarques qui n’ont jamais travaillés et qui conduise toutes les fonderies et les forges à ne plus pouvoir trouver de personnels formés. Une veritable déculottés industrielles est sur notre chemin.

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