offert par l’association du patrimoine local, avec quelques articles assez anciens affichés sur les origines de cette fonderie
Malheureusement cette visite avec un peu plus d’une vingtaine de personnes n’a pas tout à fait répondu à mes attentes.
Les visiteurs, principalement des « pékins » retraités n’ont posé que des questions de « pékin », quand aux miennes sur l’organisation, les investissements, les perspectives dans la guerre des prix et la concurrence pays de l’est et Chine, elles n’ont eu que des réponses assez vagues voire esquivées.
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La sécurité des opérateurs n’est semble pas un sujet important dans cette société.
Sommes-nous bien en France, en 2018?
Je suis choqué des commentaires sur les « Pékins qui posent des questions de Pékins ». A l’origine, il s’agissait de la visite d’une petite fonderie qui montre son savoir-faire. Au lieu de mettre en avant ce beau métier, un commentaire irrespectueux…. un manque de respect total pour les visiteurs mais aussi les salariés.
Devinez pourquoi les entreprises ne veulent plus de visiteurs…!
Réponse à Simplet : encore une fois, je déplore que dans nombre de forums et autres lieux de discussion (dont celui-ci), certains lecteurs ne veulent y lire non pas ce qui est écris, mais en font une lecture personnelle et fausse, basée sur je ne sais quel a-priori ou ressentiment.
Dans mon commentaire, il n’y a pas d’allusions à des « Pékins »., mais simplement une remarque de fondeur responsable à d’autres collègues fondeurs. Ce qui fait l’attrait et la difficulté de notre beau métier (peut être n’êtes vous pas fondeur?), c’est non seulement sa technique, mais aussi le fait que l’on exerce dans des conditions assez dangereuses.
Et, dans un pays dit « développé », il m’apparait anormal, de ne pas offrir et imposer un minimum d’équipements de sécurité. Un fondeur qui vient gagner son salaire doit absolument repartir dans le même état physique qu’il avait lorsque il est entré le matin (hormis la fatigue, évidemment).
Manipuler du métal liquide, ce n’est pas anodin. Je peux en parler puisque malgré (ça arrive parfois) le port d’équipements de protection, j’ai moi-même été brûlé en 2 occasions.
Je vous demande donc de reconsidérer vôtre message « haineux » et de relire ce que j’ai écris. Je n’ai fait aucune mention autre que le manque flagrant de la plus élémentaire sécurité des personnes en train de couler, et n’ai émis aucun jugement de valeur sur cette fonderie, ses produits, sa qualité ou son savoir-faire.
Continuons à offrir des conditions de travail non sécuritaires (en plus des autres problèmes de salubrité : poussières, etc) et nos fonderies qui peinent souvent à recruter n’aurons plus qu’à fermer.
Il n’y a absolument pas d’irrespect des salariés, au contraire on a pu voir des professionnels très compétents et fiers de leur travail dans des conditions difficiles en se coordonnant sans un mot pour obtenir un résultat exemplaire.