EPR : la cuve sous surveillance
Espace pub
Vous êtes une fonderie, une forge ou un fournisseur de ces métiers ?
Boostez votre visibilité grâce au blog Fonderie et PIWI et l’AAESFF !
Votre entreprise peine à se démarquer dans un marché concurrentiel ?
Découvrez les stratégies de marketing digital adaptées aux TPE & PME mais aussi aux grandes entreprises du secteur pour attirer plus de clients et renforcer votre présence en ligne.
Appliquez la loi des 7 fois pour être vu au bon moment par les bons clients!
Optimisation SEO | Réseaux sociaux | Référencement local | Partenariats
Profitez des avantages du kit de l'AAESFF (tarif 2024 figé jusqu'à fin février)
Ne laissez pas votre savoir-faire dans l'ombre!
Cliquez ici > pour lire l'article Communication AAESFF PIWI et boostez votre visibilité!
Cliquez ici > pour Consultez notre kit média qui vous offre déjà 5 points de visibilité sur 7
Cliquez ici > pour devenir partenaire de l'annuaire AAESFF
Quand je pense aux exigences qualité imposées dans le domaine du nucléaire pour le moindre boulon…il est difficile de comprendre comment de tels défauts sur l’une des pièces les plus critiques ait pu passer au travers !!!!
Des cuves de réacteur il s’en est fabriqué des centaines ..
Espérons qu’ils prendront la bonne décision…pour un avenir sécurisé
l’argent ferait-il oublier Tchernobyl (30 ans dans quelques jours) et Fukushima ?
Ces têtes pensantes ont-elles analysé le coût qui serait induit par une catastrophe nucléaire ?
L’ASN, qui doit subir pas mal de pressions, reste toutefois assez critique sur les propositions d’Areva
Tirés du rapport de 78 pages de l’ASN :
http://www.asn.fr/Media/Files/Rappo…
Page 63 : Le rapporteur estime qu’un dossier de non-conformité matériau n’est pas le bon cadre pour instruire de nouvelles méthodes de justification.
P 67 : en conclusion finale :
La démarche de justification qu’AREVA propose est une analyse du comportement mécanique à la rupture des calottes du fond et du couvercle de la cuve de Flamanville 3, fondée sur des essais menés sur une pièce sacrificielle représentative. Cette démarche pourrait mettre en évidence, le cas échéant, des marges significatives par rapport aux risques redoutés, qui permettraient alors de conclure que le procèss de fabrication confère des propriétés mécaniques au matériau d’un niveau suffisant pour prévenir ces risques.
Toutefois, cela ne permettra pas d’apporter la garantie de haute qualité de fabrication, qu’apportent l’utilisation de la meilleure technique disponible et une qualification technique satisfaisante, attendue pour un composant en exclusion de rupture tel que la cuve.