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Par : piwi
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mercredi 26 Juin, 2024
Catégorie : Non classée

Ancien meuleur, à 100 ans, il vit dans la commune où il est né

À 100 ans, il vit dans la commune où il est né 

photo roger robert, entouré de ses enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants. dans ses bras, la dernière née, cette année, thea, qui a juste cent ans d’écart avec son arrière-grand-père.

Roger Robert, entouré de ses enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants. Dans ses bras, la dernière née, cette année, Thea, qui a juste cent ans d’écart avec son arrière-grand-père. © Ouest-France

À 100 ans, le Sionnais Roger Robert vit toujours dans sa maison. Grâce aux services à domicile, bien entouré par sa famille, le centenaire a pu rester chez lui, dans la commune qui l’a vu naître.

Roger Robert a vu le jour au hameau de la Butte, le 19 juin 1924. À l’âge de 7 ans, il déménage à quelques encablures pour Grandville où ses parents s’installent comme agriculteurs.

Dès l’âge de 16 ans, le jeune homme part travailler comme ouvrier agricole au moulin du Pont. Il se souvient avoir transporté des sacs de farine de 100 kg pour livrer les boulangeries. « C’était très lourd », raconte-t-il.

À 22 ans, il change d’emploi et travaille à l’entretien des routes, avant de devenir maçon,

à 24 ans. Employé par l’entreprise Cavé, à Derval, quelques années plus tard, il est victime d’un grave accident en tombant du clocher de Lusanger. Il cessera toute activité pendant plus d’un an.

Entre-temps, en 1947, Roger a épousé la Sionnaise, Marie-Thérèse Gledel, avec laquelle il aura trois enfants ; Marie-Thérèse, Nicole et Didier.

En 1958, il est embauché comme maçon, à la mine de Limèle, dont il assure l’entretien. Il sera envoyé à Longwy, dans l’est de la France, pour réaliser des sondages. Son emploi à la mine lui permet de bénéficier d’un logement dans les cités du Breil, où il réside encore aujourd’hui.

À la fermeture de la mine, en 1966, il entre dans une entreprise de tôlerie et câblage à Bain-de-Bretagne. Avant de terminer sa carrière professionnelle comme meuleur ébarbeur à la fonderie Leroy, à Châteaubriant.

En 1983, vient l’heure de la retraite. Roger va alors pouvoir s’adonner à ses loisirs préférés que sont la pêche et le jardinage, sans oublier la belote, le chant et la danse, qu’il pratique dans les bals.

Ouest-France  

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