Les malgaches sont les rois de la récupération, alors il est normal que la matière première vienne de morceaux d’aluminium d’objets divers.
L’histoire raconte que cet artisanat aurait même débuté avec la chute d’un avion durant la seconde guerre mondiale dans la région.
Les fours fonctionnent au charbon de bois. Ici, on travaille sans EPI, avec rapidité et beaucoup de dextérité. Un ouvrier peut produire une cinquantaine de marmites par jour.
Opération de décrassage.
Les moules ne sont pas serrés, alors on monte dessus et même s’ils ne sont pas bien lourds, cela marche. Mais attention les pieds !
Ebarbage, un petit travail de précision bien féminin !
Et voilà le travail.
Ces marmites sont disponibles dans toutes les dimensions sur tous les marchés de Madagascar.
En plus, elles ont l’air impeccable ces cocottes !!