Le premier a fait progresser ses ventes dans le monde de 1,3 % l’an dernier, grâce à de bonnes performances en Europe. Le second voit ses livraisons chuter de 12 % à cause d’un trou d’air aux Etats-Unis.
Par Lionel Steinmann, Guillaume Guichard Publié le 16 janv. 2025 LES ECHOS
Pour Renault et Stellantis, l’année 2024 se résume à Jean qui rit et Jean qui pleure.
Malgré la déprime du marché français, qui représente environ un quart de ses ventes, le groupe Renault est parvenu à faire progresser de 1,3 % ses immatriculations dans le monde l’an dernier. En additionnant les voitures particulières et les utilitaires, il a écoulé au total plus de 2.264.815 véhicules.