Au fil du temps, au fil de l’eau, ils étaient devenus des centaines de milliers, agrippés au grillage des balustrades du Pont des Arts qui enjambe la Seine à hauteur du Louvre. Mais ces cadenas, déposés par les touristes amoureux, de passage dans la capitale, et qui s’entassaient là depuis 2008, étaient devenus disgracieux pour les uns et surtout dangereux pour les services de la mairie. Ces derniers ont eu à déplorer plusieurs affaissements de grillages et le phénomène de mode faisait désormais craindre pour l’intégrité de la structure même de la célèbre passerelle. Résultat des courses, dès le premier juin, Paris va installer des panneaux de plexiglas et retirer tous les « cadenas d’amour ».
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Comme tout le monde le sait, les cadenas sont des pièces de fonderie !
45 t de « pièces de fonderie d’amour » cela fait effectivement beaucoup pour la structure piétonne de ce petit pont.
ça va faire le bonheur d’un récupérateur
Refondre 45 t d’acier,laiton,bronze,aluminium etc..ça donne sans doute un alliage…curieux,pourquoi ne pas couler avec, un cadenas monumental ?
cela donnerait du travail à un modeleur,une aciérie ou une fonderie..
un joli coup médiatique pour la mairie de Paris,les amoureux du monde entier
apprécieraient sans doute que leur cadenas soit toujours là,dans ce monument
qui serait érigé à proximité du ponts des arts
et une opération renouvable…
Patrick à toi de jouer auprés de Mme Hidalgo…
Bonne idée, de JNM je suppose
en effet idée de jnm – le cabinet de Mme le Maire est déjà saisi.