Les Echos –
Contraint de quitter son deuxième marché après la France, le Losange va changer d’échelle, mais à la baisse. Il devra retrouver du volume, mais peut compter pour cela sur les efforts entrepris depuis deux ans.
Catégorie :
Selon la presse
la retraite de Russie est un vrai coup dur pour Renault
- ✔️ Moins de 4h par semaine
- ✔️ Documents clés en main à adapter à votre structure
- ✔️ Garantie certifié ou remboursé
BONUS et offre exclusive la Fonderie & PIWI (Jusqu’au 30/11/2025): avec le code AAESFF PIWI
• 3 mois d’accompagnement supplémentaires offerts (Valeur 5000 €)
ou
• Le Kit Platinium AAESFF 2026 offert par JF2S (Valeur 1300€)
C’est vraiment une opération très négative sans retour sur investissements !!!
Nous avons d’abord du acheter Aftovaz, puis y mettre beaucoup d’énergie dans une ambiance négative où nous n’étions pas les bienvenus pour redimensionner et essayer de rentabiliser cette entité.
Pendant des années cela nous a coûté sans retours et au moment où nous commencions à engranger quelques subsides il a fallu la céder pour quelques roubles!
Ce marché important qui devait s’avérer fructueux s’est soldé par une perte colossale qui coûtera très cher à Renault aujourd’hui et malheureusement dans le futur.
Mais nous ne sommes pas les seuls, combien d’acquisitions sont restées viables dans le temps ? très, très, très peu.
C’est vraiment une opération très négative sans retour sur investissements !!!
Nous avons d’abord du acheter Aftovaz, puis y mettre beaucoup d’énergie dans une ambiance négative où nous n’étions pas les bienvenus pour redimensionner et essayer de rentabiliser cette entité.
Pendant des années cela nous a coûté sans retours et au moment où nous commencions à engranger quelques subsides il a fallu la céder pour quelques roubles!
Ce marché important qui devait s’avérer fructueux s’est soldé par une perte colossale qui coûtera très cher à Renault aujourd’hui et malheureusement dans le futur.
Mais nous ne sommes pas les seuls, combien d’acquisitions sont restées viables dans le temps ? très, très, très peu.
Russie ou Chine, même résultat!! Investir dans ces pays dirigés par des dictateurs restera toujours une opération à haut risque. Pillage technologique, espionnage, chantage, instabilité économique, lourdeurs et/ou blocage administratifs, sont les facteurs à prendre en compte.
Beaucoup de chausse-trappes pour seulement quelques espoirs de succès et de retour sur investissement!!