Repris en main par l’Etat au tournant de la guerre, l’enseignement technique devient celui des enfants en échec dans l’enseignement général. Sa sélectivité, longtemps l’une de ses forces, devient plus lâche à mesure que les injonctions des pouvoirs publics en lutte contre l’échec scolaire s’affirment plus pressantes. Aujourd’hui, le balancier revient dans l’autre sens et, à travers de nouveaux diplômes, on cherche à rehausser l’image de l’enseignement technique.
Histoire de l’enseignement technique
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Dans les années 60, l’entrée dans un Lycée Technique d’Etat, ex ENP (école nationale professionnelle) se faisait par concours en 4ème technique. Les candidatures étaient nombreuses pour peu de places et les candidats n’étaient pas les laisser pour compte d’une autre système éducatif.
Dès notre entrée nous faisions le tour des métiers de la métallurgie: usinage (tournage, fraisage, ajustage), modelage (bois), fonderie sable et coquille, forge, chaudronnerie et traitements thermiques.
Nous ne faisions un choix définitif qu’à partir de la 1ère (technique ou industrielle).
Nos parents intervenaient rarement dans nos choix et la réussite était là au bout de notre scolarité.
Je ne vais pas oublier de lire cet ouvrage.
Monsieur Bernard Mithouard, vous êtes un sage…………………….