France Bleu
Les salariés de la fonderie de Bretagne, à Caudan dans le Morbihan, sont toujours dans l’incertitude, ce lundi 20 décembre. Neuf mois après l’annonce de la vente, le groupe Renault n’a toujours pas trouvé de repreneur.
France Bleu
Les salariés de la fonderie de Bretagne, à Caudan dans le Morbihan, sont toujours dans l’incertitude, ce lundi 20 décembre. Neuf mois après l’annonce de la vente, le groupe Renault n’a toujours pas trouvé de repreneur.
Lien Livre Centenaire ESFF, Les Héritiers du Feux = Livre du centenaire – Amicale des […]
Ibrahim Slaoui Président chez Mafoder Dans la nuit du Dimanche 15 au Lundi 16 , […]
Fédération Forge Fonderie ✈️ Retour sur la première journée intense sur « L’Avion des Métiers » au SIAE […]
Notre ami Pascal Blut vient de nous quitter à 51 ans, suite à un accident […]
La période tant attendue des congés d’été arrive, bientôt. Entre séance de beach-volley, pétanque, baignade […]
Japon : dans la fonderie qui forge des épées de samouraïs à 13 000€ Cela […]
Cette entreprise du Morbihan participe à l’élaboration de la fusée Ariane 6 L’entreprise SiiF, arrimée […]
Airbus en piste pour un « one-man-show » au Bourget avec de grosses commandes en vue Airbus […]
Luca de Meo quitte Renault pour Kering Le patron italien a annoncé sa démission au […]
📢Top départ pour le Salon Aéronautique du Bourget – Paris Air Show ! Retrouvez l’ […]
Franchement je me demande bien à qui nous allons les revendre !
Depuis la vente de nos fonderies ils ont du connaître trois ou quatre propriétaires, chacun « dégraissant » les structures de cette entreprise.
Lorsque nous les avons repris nous avons injecté pas mal de millions d’euros pour les remonter.
L’ancien management, et ce malgré les réticences de l’interne, essayait de les charger pour qu’ils retrouvent un peu de compétitivité. Lorsqu’ils ont été revendu, cette fonderie faisait beaucoup de collecteurs d’échappement dans beaucoup de nuances, mais également à parois minces et en acier ainsi que d’autres pièces comme les boitiers de différentiel.
Que reste-il de tout cela aujourd’hui ?
Je ne crois pas qu’il serait stupide de la part de Renault, de leur confier jusqu’à saturation de leur capacité, toutes les pièces en fonte GL et GS, circuit court, qualité facile à suivre et puis embaucher des jeunes fondeurs à Lorient il y a pire comme coin.
Et là on réindustrialiserait le pays.
Dit comme cela, pas grand chose à rajouter.
Confier et rapatrier dans cette fonderie FdB également toutes les pièces de liaison sol, porte-fusées et bras de suspension en fonte de Renault.