« L’EsFF accueille et forme des étudiants aux cursus variés. C’est à la fois un défi mais une force.
Environ la moitié de la promotion 2015 est formée de titulaires d’un Brevet de Technicien Supérieur, le quart d’anciens élèves de classes préparatoires aux grandes écoles, le reste entre avec en poche un Diplôme Universitaire de Technologie ou une licence. C’est la tâche essentielle de l’École que ces étudiants d’origines diverses se développent harmonieusement ce qui demande de l’entente et de l’entraide. Ce fut le cas.
Dans la promotion 2015, nous ne comptons que 2 femmes sur 28 apprentis, proportion plus faible que le score de l’an dernier et que la moyenne nationale — puisque sur les 750 000 ingénieurs diplômés en activité en France, 20% sont des femmes.
Les résultats de cette promotion sont particulièrement bons : un apprenti frôle le niveau de la mention très bien, 11 atteignent celui de la mention bien et 16 celui de la mention assez-bien. La moyenne des notes des étudiants, calculée sur les matières de deux années d’étude est de 14.
Une ombre plus noire à ce tableau : la Commission du titre d’ingénieur conditionne la délivrance du diplôme à l’obtention d’une note élevée (plus de 15,5/20) au Test Of English for International Communication, le fameux TOEIC. Tous les appentis n’ont pas encore réussi à atteindre ce niveau et nous les encourageons à le faire sans tarder.
Dans un premier temps, nous allons délivrer le diplôme d’ingénieur de l’EsFF (ou l’espoir de diplôme) et je vais donc appeler les apprentis par ordre croissant de réussite. » Bernard Guillot – Président du Jury.
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