Les chiffres de l’emploi en France sans doute meilleurs
Les chiffres de l’emploi en France sans doute meilleurs que les statistiques officielles
Une étude en cours de l’OFCE, non contredite par l’Insee, que « Les Echos » ont consultée, montre que le nombre de personnes en emploi est sous-estimé à hauteur de 1,7 million de personnes. Le taux de chômage, par conséquent, pourrait être plus bas que 7,5 %.
Et si le taux d’emploi en France était bien supérieur à celui que l’Insee publie régulièrement ? Le taux de chômage, par conséquent, est-il inférieur à sa valeur officielle ? Les questions paraissent farfelues s’agissant de chiffres éprouvés émanant d’une source reconnue et indépendante. Elles sont pourtant fondées, comme le montrent des travaux de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) auxquels « Les Echos » ont eu accès et que l’Insee ne réfute pas, au moins en partie.
Pour comprendre, il faut se plonger dans les sources de données à l’origine de ces chiffres. Le taux de chômage et le taux d’emploi sont calculés à partir d’une enquête trimestrielle de l’Institut national de la statistique portant sur 90.000 résidents de logements ordinaires et qui obéit au cahier des charges du Bureau international du travail (BIT). L’avantage ? Permettre des comparaisons pays par pays sur une même base.
Merci d’adresser votre candidature (CV + lettre de motivation) à la Société Nouvelle Fonderies et Ateliers SALIN, à l’attention de Mme Isabelle GERARD – Rue du Fourneau 55500 Dammarie sur Saulx ou par courriel : isabelle.gerard@fonderie-ghm.fr
Merci d’adresser votre candidature (CV + lettre de motivation) à la Société Nouvelle Fonderies et Ateliers SALIN, à l’attention de Mme Isabelle GERARD – Rue du Fourneau 55500 Dammarie sur Saulx ou par courriel : isabelle.gerard@fonderie-ghm.fr
2024
piwi
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Petite et Grande histoire de BIEZANEK NOYAUTAGE.
Petite et Grande histoire de BIEZANEK NOYAUTAGE.
Cette particulière PME qui fournit encore aujourd’hui des noyaux CRONING aux fondeurs a une histoire plutôt tourmentée.
Son créateur, c’est le père de Jean Pierre et de Jean Marc Biezanek : Gontran, brillant élève qui sort de de l‘Ecole Normale Supérieure (ENSET) en 1937.
Fin 45, au sortir de l’OFLAG, il prend la direction de la Sté Normande de fonderie à Oisème (27) .1950, il s’intéresse au CRONING et monte une fonderie de bronze artisanale qui utilisera le procédé (moule et masque.)
1955, Gontrand devient gérant de la SAMMEL laquelle deviendra la SEA Sté Européenne de l’Automobile qui en 1960 devant la demande croissante de tambours de freins de camions et de métros installe 2 cubilots de 60 et un chantier de moulage à vert.
Le Croning devenant secondaire, en 1965 Gontrand quitte la société.
il rentre aux sablières Lepicard exploitant des carrières de sable pour la fonderie et la verrerie à Gallardon. Biezanek et Lepicard développent une idée commune la fabrication de matériaux en silice agglomérée avec une technique issue de Croning
Jean Marc participe au développement en réalisant les premiers essais Gontran développe la partie technique et met au point un processus industriel.Un brevet est déposé le 3 dec 1965 au niveau mondial.
Le Croning est alors oblgatoire pour le moulage de tambours de frein GMC les chemises moteurs à ailettes de Volskwagen et Citroen ainsi que certaines chemises aux caractéristiques importantes comme les P45.
Pour élargir la production, ils décident de lancer la sous-traitance de noyaux qui n’existe pas en France mais se pratique aux USA er au Japon et encore aujourd’hui en Italie.
Ils construisent une machine manuelle (base Redford) avec chauffage au gaz et mécanisation moule
Leur 1er client pour le sable enrobé sera la fonderie de Gallardon, la fonderie Gailly de Meung leur demande de faire des noyaux de pont de camion et font ainsi connaissance de l’ AVEBENE et de Daniel Corniaud.
Ils produiront de la colle, des pâtes à joint et des filtres jusqu’à 1 million par mois
1967 ils déclarent la Sofel qu’il déménage à Illiers et qu’il quitte en 68
En 69 avec JM l’aventure continue ,71 installation à Gallardon avec le soutien de Lepicard pour en 74 déménager à Santeuil.75 Jean Marc est embauché et Jean Pierre les rejoint en 76
1980 JM pousse à l’automobile et aux grosses fonderies consommatrices de Croning.
1990 Gontran a 73 ans JM tient les rênes avec l’aide de JP mais le fonctionnement en indivision avec les sœurs conduit a des batailles juridiques
1994 Immatriculation de BIEZANEK NOYAUTAGE
17 salariés-15 machines – déménagements à Sours (1250 m 2)
1995 permis de construire
2000 JM démissionne JP devient gérant
2004 dépôt de bilan
2006 tribunal de commerce ok pour le plan de continuation
2014 reprise de l’entreprise par Emmanuel Cornet
2020 arrêt de production pour Poitou fonte qui assurait la moitié du CA
2023 plan de sauvegarde en juillet
2024 Xavier Lechat 43 ans, responsable de production depuis 5 ans en devient le P.DG.
Passionné du métal (qui lui manque) Xavier a contribué au succès des Fondériales 2024 où il a, avec ses deux complices Johan Sauger et Julien Thivetconduit la coulée des deux cloches dans la nuit savoyarde de Valmorel en janvier.
Les soft skills, ce sont ces «compétences douces» dont on entend beaucoup parler ces dernières années dans le monde du travail, sans vraiment savoir ce qu’elles désignent.
En clair, il s’agit de l’ensemble des qualités humaines, émotionnelles, relationnelles et comportementales acquises par une personne grâce à son éducation ou ses expériences, personnelles comme professionnelles.
Ces qualités nouvelles, qui vont au-delà des diplômes traditionnels, sont devenues parties intégrantes des candidats. Mais selon le dernier baromètre de l’Unédic sur la perception du chômage et de l’emploi publié en décembre, ces soft skills sont encore insuffisamment valorisées par les recruteurs en France.
Les soft skills, grands oubliés des recruteurs
Les Français ont en effet le très net sentiment que les compétences douces sont déconsidérées par les recruteurs, qui leur préfèrent les hard skills, à savoir les diplômes et les compétences acquises pendant la carrière, notamment. Et pour cause : 56% des personnes sondées par l’Unédic estiment que les compétences émotionnelles, sociales, le savoir-être et les qualités personnelles ne sont pas suffisamment pris en compte dans les décisions de recrutement.
Quant aux seuls demandeurs d’emploi, ils sont 59% à déplorer la prédominance des diplômes et du parcours scolaire dans les critères de sélection des recruteurs.
4,Mar 2024
piwi
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Un alternant ingénieur ESFF pour 3 ans.
Saint Jean Industries Belleville (69) recherche pour le service Méthodes et Amélioration Continue, un alternant ingénieur à l’ESFF pour 3 ans.
Les candidatures sont à faire directement sur ce lien ou par mail recrutement@st-ji.com (réf 489)
29,Fév 2024
piwi
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Les soft skills : «compétences douces»
« La fonderie c’est pas sorcier » (?)
CAPITAL
Les soft skills ces compétences douces dont on entend beaucoup parler ces dernières années dans le monde du travail, sans vraiment savoir ce qu’elles désignent. En clair, il s’agit de l’ensemble des qualités humaines, émotionnelles, relationnelles et comportementales acquises par une personne grâce à son éducation ou ses expériences, personnelles comme professionnelles.
Ces qualités nouvelles, qui vont au-delà des diplômes traditionnels, sont devenues parties intégrantes des candidats. Mais selon le dernier baromètre de l’Unédic sur la perception du chômage et de l’emploi publié en décembre, ces soft skills sont encore insuffisamment valorisées par les recruteurs en France.
Les soft skills, grands oubliés des recruteurs
Les Français ont en effet le très net sentiment que les compétences douces sont déconsidérées par les recruteurs, qui leur préfèrent les hard skills, à savoir les diplômes et les compétences acquises pendant la carrière, notamment. Et pour cause : 56% des personnes sondées par l’Unédic estiment que les compétences émotionnelles, sociales, le savoir-être et les qualités personnelles ne sont pas suffisamment pris en compte dans les décisions de recrutement. Quant aux seuls demandeurs d’emploi, ils sont 59% à déplorer la prédominance des diplômes et du parcours scolaire dans les critères de sélection des recruteurs.
27,Fév 2024
piwi
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Des demandeurs d’emploi visitent la fonderie aluminium SMVO à Saint-Rémy (14)
Des demandeurs d’emploi visitent l’usine de fonderie aluminium SMVO à Saint-Rémy
Accompagnés par France Travail, Cap Emploi, des Missions locales, une vingtaine de demandeurs d’emploi ont visité les postes de travail de l’usine SMVO à Saint-Rémy (Calvados), jeudi 22 février 2024. Cette découverte du travail et du fonctionnement de l’entreprise a eu lieu alors que l’usine cherche de la maint d’œuvre, notamment en saison.
Jeudi 22 février 2024, l’usine SMVO (Société métallurgique du Val-d’Orne) à Saint-Rémy (Calvados) a ouvert ses portes pour une visite d’entreprise à une quinzaine de demandeurs d’emploi invités par des organismes d’accompagnement que sont les Missions locales de Vire-Condé et de Caen-la-Mer (orientation des 16 à 25 ans), Cap Emploi (Vire, Condé), France Travail (qui remplace Pôle emploi) et des agences d’intérim. L’objectif du directeur, Yannick Lefèvre, était de « faire connaître l’entreprise et d’exprimer nos besoins en termes d’emploi »….
Cette usine de production en fonderie aluminium du Calvados recrute des saisonniers
Plus petite usine du groupe Fanciaflex, installée à Saint-Rémy, en Suisse normande (Calvados), SMVO produit des pièces en aluminium essentiellement pour la fabrication de stores bannes. À partir d’avril 2024, la production s’intensifie. L’entreprise recrute des saisonniers pour répondre à la demande.
« La fonderie est un vrai métier pour lequel il n’y a pas de formation. On l’apprend ici, il faut du temps, de la volonté et du travail. » Yannick Lefèvre est le directeur de l’usine SMVO, pour Société métallurgique du Val d’Orne, installée à Saint-Rémy (Calvados). Il a ouvert les portes de cette industrie à des demandeurs d’emploi venus du territoire, jeudi 22 février 2024.
L’usine SMVO existe depuis 1974 et compte…
19,Fév 2024
Nicolas
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CHEF DE PROJET / DESSINATEUR PROJETEUR (expérimenté en moule permanent / plasturgie) (H/F) – MEYZIEU (70)
Merci d’adresser votre candidature (CV + lettre de motivation) à Fonderie GHM, à l’attention de Mme Isabelle GERARD – 140, rue Mauljean 52130 Wassy ou par mail : isabelle.gerard@fonderie-ghm.fr
Téléphone : 03.25.56.73.90