La Dépêche
Suite aux propos de Jean-Pierre Floris (missionné par l’Etat et la Région Occitanie pour rechercher et trouver des solutions de reclassement aux salariés licenciés) parus dans l’article intitulé » Il faut que les salariés veuillent retrouver un poste » :
» Nous espérons que l’Etat, comme il en a l’habitude, n’est pas simplement sur un exercice de communication mais bien en recherche d’efficacité pour offrir à la SAM et au territoire un autre avenir. À ce stade, nous en doutons. En effet, comment Mr Floris peut-il douter de manière aussi méprisante de la volonté des salariés de retrouver un emploi alors que certains salariés n’ont toujours pas reçu leur lettre de licenciement et que depuis plus de 300 jours ils luttent de manière exemplaire pour juste conserver le droit de travailler. Malheureusement, il ne suffira pas de traverser la rue pour retrouver un emploi équivalent !
Comment peut-il avoir « un avis réservé» de l’entreprise alors que sa visite d’un tiers des ateliers n’a duré que 19 minutes montre en main et au pas de course, rappelons que la Aveyron. Les représentants du personnel de la fonderie SAM de Viviez réagissent aux propos de Jean-Pierre Floris