Une entreprise industrielle qui n’est pas reprise à minima par un groupe industriel où une complémentarité est capable de naître, sa pérennité est mise en cause.
Alors lorsqu’il s’agit de fonds financiers qui négocie avec un fonds d’actifs non cotés en bourse je crains que effectivement il y ait du souci à se faire pour l’avenir si toutefois il y a un avenir.
En dehors de la fonderie de Normandie, toutes les fonderies de Renault associées à Teksid, filliale de FIAT, pour en faire un groupe international de fonderie il y a de ça plus de vingt ans, sont passées à la trappe par des ventes successives à des industriels sans objectifs ni investissements ou bien à des fonds de placement qui en attendaient des rentabilités complètement déraisonnable.
Je crois que pour une fois les syndicats devraient s’unir, se secouer, et se manifester auprès des instances légitimes pour que le pire n’arrive pas.