rencontre mémorable chez Robert qui lui n’est pas fondeur : ils savaient tisser …des relations.
et ce creuset de l’usine de Nogent de Montupet était chargé de nous accueillir.
ardennais de souche, il venait de confier sa grande collection de sangliers à Alexandre Bader.
Il y a 20 ans il lançait avec son ami Vanara de la promo 56 de l’ ESFF, l’idée de la Cloche pour fédérer les promotions. Il aurait apprécier l’idée lancée du carillon de 24 cloches de l’ Ecole.
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Nous venons de perdre un ami et un pilier de notre amicale, mais aussi un ancien professeur de l’Ecole. Je tiens au nom de tous les ESF et ESFF à présenter nos sincères condoléances à son neveu et à sa famille.
TRITZ
Président AAESFF
en effet, Claude s’amusait à appeler notre président non par son prénom, comme c’est devenu l’habitude, mais par son nom : Tritz !!
Un grand homme nous quitte, consensuel , amoureux de son métier et des hommes et femmes qui l’animent . Il a participé à l’histoire de nos associations et toujours essayé de fédérer nos actions.
Toujours de l’humour même ces dernières années difficiles.
Souffrant d’une grave hernie discale je serai certainement sur le billard et ne pourrai assister à leurs obsèques. Faites une intense prière de ma part à ces deux piliers de notre profession
Très cordialement
G.Lebon
si je lis bien le blog, Claude France et son Epouse sont partis en même temps!!!
Etrange? Trop étrange !
Je serai en Germany ce mercredi et je ne pourrai donc pas assister aux funérailles.
J’y serai aller sans problèmes car Claude à part avoir travaillé avant moi à Redon a été aussi une personne qui a bossé pour ou avec mon Père.
Chaque fois que l’on se voyait, il était chaleureux et attentionné.
Etrange, effectivement.
Toutes mes condoléances à la famille.
Je ne l’ai rencontré qu’une fois mais notre échange ce jour-là restera gravé dans ma mémoire.
Il m’avait comtér l’arrivée du Croning en France avec une grande simplicité et passion.
Chers Amis,
C’est aussi avec grande tristesse que je viens d’apprendre les décès de Claude France
et de son épouse si j’ai bien lu! quel drame pou eux et leurs proches!…
Eloigné dans la région Nord, je ne le cotoyais pas fréquemment mais j’ai toujours en
mémoire les rencontres agréables et détendues que nous avions partagées pendant ma
période parisienne.
Je leur souhaite une grande paix éternelle .
Henry THEVENIN
Nous sommes très attristés par cette terrible nouvelle.
Claude et son épouse nous étaient très sympathiques.
Un grand fondeur vient de disparaître ,nous sommes tous endeuillés.
Bisous à vous deux.
Vincente et Raymond
Cher Claude,
-Tu m’as connu en 1970 chez Massey Ferguson.
-Tu m’as aidé à l’implantation d’une nouvelle fonderie avec tes machines à noyaux « Röper » et ton chantier de moulage « BMD »
« La boite chaude » et le moulage à vert n’avait aucun secret pour toi.
-Tu as pendant toute ta vie participé et fait participer à l’énorme évolution de la fonderie sous toutes ses formes.
-Tu avais « une excellente plume » pour rédiger les compte rendus.
-L’expertise de l’art était aussi une de tes passions.
-Ton amitié était toujours sincère.
Nous gardons de toi d’excellents souvenirs.
Au revoir Claude
Quelle effroyable nouvelle !
J’ai bien connu Claude FRANCE et rencontré son épouse. Je les ai fortement appréciés tous les deux. À mon arrivée à la direction de l’ESF, Claude intervenait encore comme membre de jury de projet de fin d’études ou de mémoire d’ingénieur. Parmi les nombreuses questions qu’il adressait à nos élèves à l’occasion de leur soutenance, il y en a une qu’il affectionnait particulièrement : Pouvez-vous me définir le point de rosée ? Certains de nos étudiants pouvaient être un peu désarçonnés par cette question. C’est alors que Claude savait parfaitement leur venir en aide en enchaînant sur d’autres questions fondamentales propres à la fonderie sable. Un vrai passé de fondeur ! Un fondeur que l’on regrette déjà. Sans oublier son épouse.
Cordialement mais avec tristesse,
Georges CHAPPUIS,
Directeur de l’ESFF de 1996 à 2012.
Claude était quelque part hors norme, et j’ai toujours aimé sa liberté de parole, je me souviens de ma première rencontre avec Claude , lors d’un carrousel des fournisseurs de l’ATF.
Peut-être trouverez-vous cela bizarre, mais je me souviens de ce qu’il m’a dit lors de ma première rencontre :
‘’Petit tu vas travailler pour une société Allemande, mais tu ne vas pas en baver comme nous à notre époque lorsque nous proposions du matériel de fonderie Allemand, à des fondeurs Français, dont certains avaient dû déménager en préambule de la seconde guerre, et les anciens chefs de fonderie avaient la rancune tenace……’’…
C’est lui qui m’avait expliquer pourquoi l’on retrouvait la fonderie des Ardennes en Normandie, Wintenberger dans la Sarthe, et bien d’autres sociétés migrantes aujourd’hui disparues.
Quelques confrères auront peut-être l’idée de lui couler une plaque ou quelque objet en Bronze à son effigie, si par bonheur son amé de fondeur traverse nos cieux il en sera ravi….
Amitiés à ses proches
STP peux tu présenter à la famille mais très sincères condoléances
Et de croire à toute ma sympathie attristée en cette si douloureuse
Épreuve qui est de perdre des êtres chers.
Bisous à vous deux.
Sylviane
Je ne trouve pas les mots pour exprimer ce que je ressens suite au décès de Claude, je me revois encore Rue de BASSANO quand j’ai eu l’immense honneur de lui succéder comme président des fournisseurs en septembre 1989 bien avant que cela devienne le caroussel des partenaires et bien sûr dans les fonderies lors de démarrages de machines à noyauter et de chantiers de moulage
ou encore récemment avec lui comme experts fonderie.
Un grand homme de notre profession vient de nous quitter
Repose bien en paix mon ami sans oublier ta charmante épouse.
Pour avoir été son collaborateur pendant quelques 17 ans, je souhaite à tous ceux qui sont en activité d’avoir un supérieur, un chef, un patron aussi « cool » que l’était Claude France. (pour employer un mot actuel qu’il n’aurait peut-être pas aimé)
Tschüss Herr France
Nos amis Claude & Simone France viennent de nous quitter subitement.
Le compliqué chemin de la vieillesse a eu raison de leur immense joie de vivre, celle qu’ils aimaient nous faire partager depuis de très nombreuses années.
D’abord ingénieur « Bréguet », puis ingénieur « ESFF » dans la légendaire promotion 1956 qu’il animait, c’est Expert auprès du tribunal de Versailles qu’il termina brillamment sa carrière.
D’abord collaborateur de la Fonderie Havraise, il avait ensuite coulé à Redon les premières pièces en fonte GS du pays. Ce qu’il aimait nous rappeler.
Mais, c’est surtout en inondant les fonderies : de ces Röper, ces machines à noyauter allemandes et ces célèbres Chantiers de moulage BMD qu’il s’est fait connaître et apprécier de ses nombreux clients et amis fondeurs.
Son obsession, c’était de communiquer à la profession tout le savoir-faire qu’il avait acquis tout au long de sa brillante carrière, où il aimait ainsi montrer toutes ses qualités d’ingénieur et son fervent sens des relations humaines.
A la fin de sa carrière, il aurait aimé devenir directeur de notre Ecole : l’ESFF qu’il chérissait tant. Ça n’a pas été possible. Pas du tout rancunier, il a souvent prodigué ses conseils d’abord à Jean Montuelle , puis à Georges Chappuis et enfin à Pierre Yves Brazier les directeurs de l’ école qu’il n’hésitait pas à convier sous son toit à Feucherolles sa superbe maison où ses bronzes et ses fontes étaient sa fierté.
Président du Carroussel des fournisseurs dans des époques plus riches, il avait su conduire de ses conseils les choix stratégiques des partenaires du métier.
Simone, « Monnette » pour les plus proches, s’était spécialisée dans la reliure des livres et dans l’édition des premiers audiophones pour visiter les musées, travaux qu’elle engageait quand son mari roulait vers ses clients et qu’elle aimait nous présenter dans les pièces du bas.
Avant de devenir il y a peu, ce sympathique et étonnant « couple d’anciens », ils nous étaient apparus comme ces personnages cultivés, érudits, élégants et très classes qui savaient briller en demeurant modeste et abordable surtout quand il fallait parler fonderie.
C’est en préparant « Connaissance » la sculpture que l’Amicale et l’Ecole ont imaginée avec Paul Flury puis coulée chez Devaux Werts et enfin installée à La Défense que nos relations se sont affirmés.
Nous avons ainsi pu découvrir ses talents de créateur et d’artiste. Ses véritables passions à la retraite se sont ainsi exprimées pleinement d’abord dans le dessin, puis dans la peinture avec ses « noirs Soulages », la sculpture, qui nous a permis d’apprécier son superbe d’Artagan et enfin, bonne plume, il aimait raconter ses découvertes en fonderie.
Il n’y avait pas de couple plus heureux que « les France » pendant ces années de retraite. Hélas les chutes de Simone ont bousculé ces dernières années… jusqu’à ce terrible appel reçu d’un médecin de garde ce samedi 24 septembre 2016 qui voulait une hospitalisation d’urgence pour lui éviter une septicémie.
Le diable étant dans les détails, ce qu’ils avaient envisagé à deux depuis certainement longtemps, n’aurait pas pu se dérouler aussi paisiblement que souhaité.
Nous avons aimé ce regard bleu et ces sourires avenants.
Toutes nos pensées les plus affectueuses iront donc à leurs neveux et nièces et à leurs nombreux amis de la fonderie qui lui rendaient bien l’affection qu’ils leur portaient.
Au revoir Les Amis…. Adieu Les Amis…
Que de bons souvenirs communs nous allons garder.
Patrick Wibault ESFF/H 5 oct 2016