1877. 425 salariés, dont 165 mouleurs. Création de la société anonyme de Rosières. L’entreprise se spécialise dans la fabrication des appareils de cuisson.
1896. 600 salariés, dont 380 mouleurs de fonte. 9.000 tonnes sont moulée chaque année.
1900. 900 salariés.La fonderie de Rosières, au début du XXe siècle. Collection Jean Kopec.
1906. 800 salariés
1926. 1.000 salariés. Pendant la Première guerre mondiale, l’usine aura contribué à fabriquer des obus et des grenades. En 1920, les premiers Polonais arrivent.En 1929, la cité de Rosières comptait 943 Polonais. L’entreprise s’était adaptée à ce contingent. Exemple ici avec une plaque émaillée, où les conditions de sécurité sont ércites en français et en Polonais.
1931. 1.100 salariés. La quantité a augmenté, par rapport au début du XXe siècle. 20.000 tonnes sont coulées. A cette époque, la cité des Rosières compt 2.074 habitants.
1950. 900 salariés, dont 250 Polonais. En 1952, l’effectif comprend 800 ouvriers, 100 employés, 14 ingénieurs et 32 agents de maîtrise.La fonderie de Rosières dans les années 1950. Collection Jean Kopec.
1967. 1.130 salariés (création d’une usine à Saint-Doulchard)Millénaire catholique de la Pologne à Rosières. Le 26 juin 1966. Collection Jean Kopec.
1970. 1.350 salariés. La cité de Rosières (1.746 habitants en 1975) voit sa population décroître.
1988. 1.300 salariés. Le site aura connu un incendie en 1983, qui détruit 10.000 mètres carrés de magasins. Mais l’usine est toujours aussi importante.
1993. 708 salariés
1998. 600 salariés environ
23 novembre 2006. Après une chute vertigineuse des effectifs (653 salariés en 1995, 115 en 1998…), la fonderie ferme après une dernière coulée.
2016. 200 salariés environ. L’usine de Rosière n’assure plus que l’expédition d’appareils électroménagers
Jean-Paul DIARD fût le dernier directeur jusqu’à l’extinction des cubilots