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Selon la presse
Geffroy n’arrive pas à écrire à Tachot
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LES RONDS DE CARRÉ
Monsieur notre maire d’Orléans, Olivier Carré, aime les ronds sans arrondir les angles. Monsieur notre maire, après avoir instauré le stationnement payant dans les rues de sa ville, fait verbaliser les habitants qui paient un forfait mensuel lorsque ceux-ci dépassent l’horaire prévu de quelques minutes. La logique voudrait que le paiement mensuel se termine à la dernière journée de l’abonnement mensuel et non à la minute près. Taxer les plus défavorisés est d’autant plus aisé que les dits habitants ne sont pas prévenus de la date d’expiration de leur abonnement. En effet, M. Carré, très carré, oblige les résidents à justifier du règlement de leur taxe d’habitation, annuellement, sans les prévenir par courrier de la date d’expiration. Il est vrai que les timbres et les enveloppes coûtent cher et font travailler des fonctionnaires… D’autre part, il interdit le stationnement durant plusieurs jours invoquant des travaux sans rétrocéder la partie du paiement afférente.
M. Carré aime les ronds. Avec un revenu mensuel de 8 065 € (République du Centre 2011), il ignore que les retraites de la majorité des habitants ne leur permettent pas de louer un garage ni d’être connectés, qu’ils n’ont pas de chauffeur et financent eux-mêmes leur véhicule. C’est un mépris pour les personnes âgées ou en difficultés financières. En plus de cela, Monsieur notre maire fait de l’humour. Lorsque je lui ai écrit pour lui faire part de mon plus vif mécontentement, il m’a fait répondre par la négative par M. Geffroy alors que je m’appelle Tachot.
Ceci illustre à propos la phrase de Joseph Caillaux, ministre de Clemenceau qui, en 1907 a dit : « Faites payer les pauvres ! Bien sûr, les riches ont la capacité de supporter des impôts bien plus lourds, mais les pauvres sont tellement plus nombreux ».
Frédéric Tachot,
septuagénaire.