Ouest-France
La Fonderie en a vécu. Mais de mémoire de fondeur, ce qu’il s’est passé vendredi est sans précédent.
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Le syndicat CGT majoritaire de la Fonderie de Bretagne, une entreprise appartenant à Renault, continue de faire blocage sur l’approbation du contrat compétitivité mis en place par le groupe automobile en mars dernier.
Le « village gaulois » de l’empire Renault se trouve à Caudan, dans le Morbihan. A la Fonderie de Bretagne (FDB), une entreprise de fonderie pour l’automobile appartenant au groupe au losange, on refuse l’accord compétitivité signé entre la direction et trois syndicats le 13 mars dernier.
Environ 60% des employés de la FDB ont voté contre l’accord lors d’un vote au sein du collège ouvrier de la fonderie, a indiqué la CGT, syndicat majoritaire, à l’AFP. Le contrat compétitivité prévoit une augmentation du temps de travail et l’application dans les deux ans des 35 heures (aujourd’hui 32 heures).
Pour le syndicat CFE-CGC, signataire pour sa part de l’accord national en mars, l’avenir du site est menacé par ce blocage de la CGT. La ratification de l’accord étant conditionnée à des investissements de Renault sur le site, « les pièces vont partir chez des concurrents », regrette Christophe Neilz, délégué syndical CFE-CGC. « C’est donc la mort de l’entreprise dans les trois ans (…) c’est suicidaire de ne pas signer l’accord aujourd’hui ».
« La CGT ayant refusé (de signer l’accord), la direction doit maintenant statuer sur les dispositions à prendre, ce qui conduira inévitablement à un décalage des investissements envisagés », a pour sa part écrit la direction de la Fonderie de Bretagne dans un communiqué, réaffirmant « sa volonté de mettre en oeuvre les mesures indispensables à la pérennité du site et à poursuivre la dynamique d’investissements engagée (22 millions d’euros investis entre 2010 et 2012) pour préserver les 450 emplois ».
Le site, filiale du groupe Renault depuis octobre 2009, compte 450 salariés.Article Usine Nouvelle