Lui, c’est Laurent Moisson, la plume et l’influenceur des Forces Françaises pour l’Industrie.
C’est aussi, un mec sympa bourré d’humour, un écrivain et l’organisateur en chef de ce mouvement apparu il y a quelques années déjà, et qui tisse sa toile sur tout le territoire, en agglomérant tous ceux, qui comme moi, sont des défenseurs passionnés de l’industrie et de son monde.
Le contact est pris depuis déjà longtemps, et nos posts convergent très souvent sur des sujets essentiels pour alerter, expliquer, dynamiser, passionner nos lecteurs avides de commentaires sur nos visions partagées de l’Industrie Française.
Il ne restait plus qu’à nous rencontrer sur le Terrain comme il se doit pour des Hommes d’action.
L’industrie ca se pratique dans des usines, et tout naturellement Laurent a répondu à mon invitation sur le site d’un des industriels que j’aide à se restructurer.
Nous resterons discrets sur le lieu jusqu’à ce que la mission soit couronnée de succès, c’est pour bientôt.
Deux heures d’interviews à bâtons rompus et des échanges passionnés ont émaillé cette journée qui marquera ma rencontre avec les FFI.
J’ai commencé à écrire sur la désindustrialisation en janvier 2019 et 1235 posts plus tard je ne suis plus seul, un mouvement porté par Laurent et ses adhérents est né et il est très fort.
Il va continuer à s’amplifier c’est certain, il est transpartisan, il est au dessus des querelles d’alcôves, il ne doit rien à personne, il est libre de penser et dire sa vérité.
Il regroupe désormais de nombreuses personnalités, qui ayant eu des carrières solides, peuvent s’exprimer avec toute la crédibilité que leur parcours leur accorde.
Et si la réindustrialisation commençait avec ceux qui en ont le plus intérêt ?
C’est à dire ceux qui aiment l’industrie et qui veulent en vivre, c’est à dire une majorité de Français.
Merci à Laurent Moisson et aux FFI.PATRICK BELLITY
C’est à dire ceux qui aiment l’industrie et qui veulent en vivre, c’est à dire une majorité de Français.
Merci à Laurent Moisson et aux FFI.PATRICK BELLITY
esff
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Confidence de Napoléon III aux FFI : Les Français n’investissent pas assez dans leurs PME.
Forces Françaises de l’Industrie
LES FFI ET MOI
Ce n’est pas moi qui suis petit.
C’est lui qui est grand.