Claude Gillet, un collectionneur de ces petits princes de la plaine comme il appelle ces machines : « Je suis tombé dedans quand j’étais petit. C’est comme une drogue. Quand on a commencé, on ne peut plus s’arrêter ». Il est de cette génération qui, enfant, a connu l’utilisation des chevaux pour tirer la charrue, avant que la mécanique ne prenne le relais.
Il ne regrette pas cette transition : « C’était bien les chevaux, mais il y avait des carnes parfois.
http://www.lunion.presse.fr/article/region/dimanche-grande-promenade-dans-larrondissement-de-vieux-engins-agricoles-tracteurs-da

La vérité si jument.