LA DEPECHE –
Fondée en 1867 à Albi, la Fonderie Gillet est l’une des plus vieilles fonderies de France et du monde. Après de multiples épopées, elle est récemment reprise en 2014 par l’ensemble de ses salariés sous forme d’une SCOP, pour devenir la Nouvelle Fonderie Gillet Industries.
Spécialisée dans la fabrication de pièces de petite et moyenne série (1 à 1 000 pièces), elle se distingue par une maîtrise de la fabrication de pièces en aluminium, cupro-aluminium et bronze, suivant les trois procèdes de moulage suivant : le sable à vert, la coquille gravité, et le sable chimique.
« Nous pouvons aussi fournir très rapidement des prototypes à base de moule imprimé 3D car notre principale force est le fait d’avoir dans les mêmes locaux un bureau d’études, la fonderie et l’atelier d’usinage, ce qui permet d’accompagner nos clients de la conception au produit fini.
Grâce à cette expérience et à notre savoir-faire, nous pouvons réaliser des pièces allant de quelques grammes à 400 kg » prévient Nicolas Pomarède son PDG.
La Nouvelle Fonderie Gillet Industries se distingue ces dernières années en allant chercher une diversification d’activités sur de nouveaux secteurs : le ferroviaire, la lutte anti-incendie, la machine spécialisée, le maritime et le pompage. « Nous voulons poursuivre cette diversification et attaquer plusieurs marchés dont le contrôle par optique, et allons faire du montage de sous-ensemble. Nous sommes en train de nous positionner également sur le secteur de l’armement » appuie-t-il.
Quand donc la SCOP cessera de parler d’histoire sans la connaître (date de création fausse). L’histoire appartient à la Famille GILLET et non aux personnes qui occupent les locaux depuis un peu plus de huit ans.
Curieusement, quand vous parlez de nouveaux secteurs secteurs d’activité, j’ai l’impression d’avoir mon carnet d’adresses sous les yeux.
PS : je ne suis pas anonyme.