La Tribune de Toulouse
Dans l’Aveyron, la fonderie SAM vit peut-être ses dernières heures.
La faute notamment à une opération de croissance externe de trop dans les années 2000. Néanmoins, les 340 emplois de ce site dédié à l’industrie automobile pourrait trouver un sauveur en la personne de Patrick Bellity, qui vient de déposer une lettre d’intention au tribunal de commerce de Toulouse qui doit statuer demain sur l’avenir de l’usine. Mais en réalité, c’est le client unique de la fonderie, Renault, qui tient les clés du dossier.