: les Français sont responsables de la boite de transmission principale, du rotor anticouple, de l’avionique, du système carburant (Aerazur), des systèmes électriques et hydrauliques, ainsi que des portes et des vitres ; les firmes chinoises quant à elles sont responsables de la structure, du rotor principal, des turbines, du train d’atterrissage et des boîtes de transmission intermédiaire et arrière.
Dongfeng officialise son entrée au capital de PSA.
Du côté d’Airbus, on espère que la visite du président chinois sera l’occasion de signer enfin l’accord définitif renouvelant pour au moins dix ans le partenariat autour de la chaîne d’assemblage d’A320 de Tianjin. Un accord de principe a déjà été annoncé, mais les discussions sur les modalités durent depuis plus de deux ans. Cet accord devrait s’accompagner de signatures de contrats, comme la commande de 70 A320NEO par China Eastern, qui n’attend plus que le feu vert des autorités. L’avionneur Airbus espère également le déblocage des dernières commandes d’A330 – au nombre de 27 .
Dans le nucléaire civil, la visite du président chinois pourrait être l’occasion de formuler de nouveaux « actes de rapprochement » avec la filière française, mais sans aller jusqu’à une signature formelle de contrat