« Sa taille, bien inférieure à celle d’usines en Amérique ou en Asie, pouvait néanmoins poser un problème de compétitivité à terme » a déclaré M. Gupta, déterminé à dépasser ce problème par cette seconde usine.
L’homme d’affaire a été reçu par le premier ministre Edouard Philippe, qui a donné son accord à ce rachat et ce plan de développement, ravi de voir la France de nouveau attractive aux yeux des investisseurs étrangers. « L’entreprise, séduite par l’environnement pro-business mis en place par le président Emmanuel Macron et l’exécutif actuel, souhaite investir massivement en France », a d’ailleurs déclaré GFG Alliance dans un communiqué.