La ministre du Travail et de l’Emploi Astrid Panosyan-Bouvet a visité le site Stellantis de Sept-Fons, à Dompierre
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L’autonomie et la décarbonation de 2024 à 2027 explicitées. Photo Rémi Langlois « Des voitures propres réalisées dans des usines propres », c’est ce que met en avant le site de Stellantis. Photo Rémi Langlois Une partie des pièces en fonte fabriquées et usinées à Sept-Fons : disque plein, tambour, disque ventilé de différents diamètres et carter cylindres. Photo Rémi Langlois -
La fonte liquide sortie du cubilot est maintenue en température dans une poche de 50 tonnes, dans laquelle les cars à fourche viennent se servir pour alimenter les fours des lignes de moulage. Photo Rémi Langlois
Présentation des principaux composants pour faire de la fonte. Photo Rémi Langlois
La poche de fonte liquide va être déversée dans le four de coulée automatique. Photo Rémi Langlois
La ministre du travail attentive. Photo Rémi Langlois -
Le cortège ministériel se déplace entre les lignes d’usinage. Photo Rémi Langlois
La sortie des disques ventilés usinés. Photo Rémi Langlois
Une visite au pas de charge. Photo Rémi Langlois Le chef du personnel présente les parcours de formations internes mises en place pour les demandeurs d’emploi, les reconversions internes, l’alternance, le tutorat et les partenariats. L’ouverture d’une école de production est planifiée en septembre 2025. Photo Rémi Langlois
La ministre confie être impressionnée par le choix radical réussi de transformation de la fonderie à l’usinage. Photo Rémi Langlois
Riche moment d’échange avec les apprentis, alternants et personnes en reconversion. Photo Rémi Langlois Chacun et chacune confient leurs expériences avec la ministre. Photo Rémi Langlois
Ce vendredi 18 octobre, dans le cadre de son déplacement sur le thème de l’emploi et des mutations économiques, la ministre du Travail de l’Emploi Astrid Panosyan-Bouvet, a visité le site Stellantis de Sept-Fons, qui emploie de nombreux Saône-et-Loiriens. Une visite qu’elle a appréciée, trouvant là concrètement le développement de l’apprentissage, les reconversions et les mutations économiques de la fonderie vouée à l’automobile.
Bravo ! ils se baladent tous avec un casque quasi inutile mais par contre pas de chaussures de sécurité ni de gilet servant à repérer les visiteurs !! c’est du délire .
Par ailleurs pour avoir fait de l’achat et de l’étude de coûts je suis très perplexe pour qu’une fonderie de carters cylindres fonte opèrent une mutation vers des disques de freins et leurs usinages.
Toutefois je l’explique par le fait que Stellantis charge peut-être en priorité ses capacités internes avant de procéder à une mise en concurrence avec l’extérieur auquel cas je veux bien applaudir des deux mains.