mais les relations entre partenaires sociaux restent tendues
Même si l’accord n’est pas totalement finalisé.
Le cœur du sujet, c’est-à-dire la future taxe d’alternance et son pilotage
satisfaction sur le sujet parallèle de l’apprentissage, notamment sur le pilotage par les branches et les organisations professionnelles.
44 propositions très opérationnelles en vue du projet de loi, notamment :
– En finir avec le déficit d’image, la trop grande complexité et le défaut de pilotage de cette filière, dont les avantages en termes d’insertion professionnelle des jeunes ne sont plus à démontrer.
– Faire converger le contrat d’apprentissage vers celui de professionnalisation.
– Supprimer l’âge limite de l’apprentissage (26 ans).
– Rémunération des apprentis : Calculée en pourcentage du SMIC, elle présente des écarts importants avec celle des jeunes en contrat de professionnalisation, à tâches en entreprise et diplômes préparés identiques.
– Recentrer les diplômes professionnels autour de familles de métiers . Ce qui suppose « une réforme en profondeur de l’enseignement professionnel dans son ensemble ».
– Des socles professionnels diplômants verraient le jour par domaines de spécialité.
– Une Agence de l’apprentissage pourrait aussi être créée pour coordonner les parties prenantes de l’orientation.
– Aux aides aux entreprises, trop nombreuses et peu lisibles : en lieu et place, le rapport milite pour une aide unique versée par un seul guichet et privilégiant les TPE/PME et les premiers niveaux de qualification.