Le partant c’est Georges : 
Georges Chappuis.(chat puits)
l’arrivant c’est Pierre Yves Brazier (esff 86) qui a fait carrière chez Montupet.
.
Le discours du Président André Robert Dehault sera publié dans un prochain n° de Fonderie Magazine.
Celui plein d’humour et d’érudition du Président des Jurys Jean Bernard Guyot sera lui aussi publié.dans FM, Fonderie Magazine
.
Armand Hannequin, le président des Anciens ESFF, y est allé aussi de ses mots de sympathie .
A charge pour vous lecteurs de mettre un nom sur ces têtes qui oeuvrent autour de l’ école et dans la profession:
1
2 photo prise par Max
3
4
5
6
7
8 Jérémie vainqueur du 4L trophy et Claude Brée celui qui aide les élèves en difficulté
9
10 Georges avec un de ses fils.
11et ce sanglier des Ardennes trophée offert à l’ancien directeur par les participants à la dernière Fondériale
Un sanglier des Ardennes jouant au foot, comprendra qui pourra.
12
Catégorie :
Formation
Le départ à la retraite du Directeur de l’ ESFF : le pot d’adieu et celui de « Bienvenue »
Optimisez vos analyses métallurgiques avec le nouveau spectromètre SIRIUS 500 de GNR.
Puissant, précis, rapide — conçu pour les exigences des fonderies modernes.
Pourquoi choisir le SIRIUS 500 ?
- ✔️ Technologie CMOS : haute sensibilité et détection de très faibles concentrations
- ✔️ Spectre étendu : de 119 à 850 nm, idéal pour Fe, Al, Cu, Ni, Zn, Ti, Mg, Pb, Sn
- ✔️ Analyse des gaz : O, N, H dans les matrices Ti, Co, Ni, Cu pur…
- ✔️ Temps de mesure réduit/ Interface intuitive : moins d’attente, meilleure expérience
- ✔️ Chambre optique purgée à l’argon : stabilité et précision assurées
- SAV réactif & formations sur mesures : pièces détachées disponibles, interventions rapides, prise en main efficace
- Logiciel EOS® : interface moderne, résultats clairs et personnalisables
- Conformité internationale : résultats fiables et normés
- Accompagnement durable et expérience prouvée : support technique, maintenance, conseils d’experts
Analyser vos métaux
Pour votre laboratoire qualité
Spectromètres et machines d'essais mécaniques,
Installation, formation, maintenance et calibration
Plus d'infos ou une démo ?
Contactez-nous : contact@gnrfrance.com
A qui appartient le coupé 307 gris immatriculé dans le 28 et qui bloque la sortie de l’ESFF ?
Mais diantre, où sont Odile et Anne? (je crois avoir aperçu Yasmina sur une photo)
Elles ont fait et font aussi la vie à l’ESF (bravo aussi à elles trois) sans ôter un ppm de respect à Georges qui fut un très bon Directeur et qui plus s’est bataillé durement avec la CTI pour garder à l’ESF sa possibilité de dispenser un Titre d’Ingé reconnu par l’état….seul bémol (dont il n’est pas responsable): quand on est bon en anglais et que les périodes en entreprise sont très bien validées alors « on a son papier »!!!!! Même si les acquis dans matières fondamentales sont « mini » de chez « mini » !!!!!
Sinon, si la journée avait été officialisée, il y aurait eu certainement plus de monde…même si elle s’est déroulée en semaine qui comme d’habitude ne favorise que les « Parisiens »!
A moins, que Georges ne nous fasse une tournée en Région: donc bienvenu dans nos journées techniques régionales (ATF, amicale des ESF & Co)
Bonne retraite Georges
See you et à +
PMC
A propos de Montupet :Ils sont encore cinq candidats en course : le français Arche, l’américain Aïken, le stéphanois GMD (Groupe mécanique découpage), l’équipementier auto français Saint-Jean Industrie et… Montupet, avec son plan de continuation.
D’après les dernières informations, Montupet, celui-là même qui voulait imposer l’été dernier une baisse de salaires de 25 % à ses ouvriers de la FDPA (en redressement judiciaire depuis le 20 octobre), serait, paradoxalement, loin d’être hors course. Il aurait même une toute petite longueur d’avance, notamment en terme de plan de sauvegarde de l’emploi.
Pour Cyrus :
il s’agit en fait d’une 308 CC de couleur gris métallisé portant le n°28 (avec la nouvelle immatriculation) alors que j’habite dans le 95. Ce 28, qui est pour moi un nombre fétiche, me permet en province de ne pas être l’horrible parisien qui sème le bazar et m’autorise en région parisienne d’être le provincial paumé que l’on excuse pour sa méconnaissance.
Et tu m’excuseras, j’en suis certain, mais arrivé tout juste en retard pour la « festivité » et croyant que tout le monde faisait partie des invités, je me suis posé tel le bon parisien, c’est-à-dire n’importe comment.