avec 80 % de ses 400 salariés au travail.
Ouest-France
L’interruption de deux semaines a permis la mise en place d’un protocole sanitaire complet.
À la FMGC, des parcours avec marquage au sol ont été délimités, comme devant une pointeuse.
Voilà un exemple de gestion de la crise du coronavirus par un industriel. À Soudan (44), la Fonderie et mécanique générale castelbriantaise (FMGC), leader européen du contrepoids en fonte, a d’abord préféré fermer ses portes dès le 20 mars, trois jours après le début du confinement. « 95 % de nos clients arrêtaient. Mais surtout, on ne se voyait pas réfléchir à un protocole sanitaire de reprise tout en restant en activité » ,