Est Républicain – Les Fondeurs de France se sont réunis au lycée Loritz à Nancy.
437 sites de production, 36.204 salariés, 5,4 milliards de chiffre d’affaires, voici les chiffres de la Fonderie en France.
La formation en fonderie; c’est essentiellement des bacs pro & des bacs + 2 .On a du mal à recruter des élèves et il paraît qu’ils vont de moins en moins en fonderie.
Exemple.
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LABAMIE : La clé pour vos matériaux
Défauts métallurgiques, non-conformités, pièces rebutées… Chaque défaut coûte du temps, de l’argent… et parfois un client.
Porosités, fissures, inclusions, traitements thermiques mal maîtrisés, ruptures inattendues… Dans l’industrie, l’erreur n’a pas sa place.
LABAMIE, le laboratoire des industriels exigeants Fonderie, forge, usinage, traitement thermique : nos clients nous sollicitent quand la matière devient critique.
Notre mission
Fort de 15 ans d’expérience industrielle, LABAMIE vous accompagne avec des analyses pointues et un suivi personnalisé pour :
Identifier l’origine des défauts
Mettre en place des actions correctives concrètes
Sécuriser vos décisions techniques et commerciales
Nos expertises
Analyse de défaillance & expertise métallurgique (fractographie, microstructure, fatigue, corrosion)
Caractérisation des matériaux (acier, fonte, aluminium, cuivreux, nickel, aciers à outils, base cobalt…)
Tribologie et comportement des surfaces (usure, frottement, lubrification)
Problématiques de mise en forme industrielle (emboutissage, découpe, découpage fin) → et les problèmes d’outillage associés
Accompagnement en R&D et amélioration des procédés
Diagnostic en cas de litige ou non-conformité client
Réactivité, clarté, indépendance, confidentialité
Contacter nous pour un devis personnalisé, une présentation de nos services ou une visite :
2 commentaires pour : "La fonderie en mal de main-d’œuvre"
Exemple: le Lycée du Creusot qui va terminer péniblement sa dernière année de BacPro par alternance avec ses 2 derniers élèves et puis supprimer la section faute de candidats. Sans parler de la section modelage qui a déjà fermer ses portes il y a quelques années. Dans ce métier aussi, il va y avoir un problème de main d’oeuvre.
Pour comparer il y a 15-20 ans, le lycée du Creusot recrutait en moyenne 5 personnes par an pour chaque section de modelage et de fonderie, donc 10 élèves par an. Sachant qu’à cette époque il y avait le BEP en 2 ans et le BAC PRO (ou BT) en 2 ans, il y avait donc au total une quarantaine d’élèves. Et aujourd’hui…. 2
Bonjour,qui n’a pas dit un jour « on attire pas les mouches avec vinaigre ».Le conseil que je peux dire si vous me le permettez,c’est de payer les jeunes qu’ils veulent apprendre notre beau métier,leur donner un petit salaire et je pense que le jeune sera heureux de gagner de l’argent en apprenant le métier et ça fera boule de neige.Pour vous dire s’ils resteront tous en Fonderie c’est une autre histoire.Mais c’est à ceux qui vont les former de leur faire aimer le métier et de bien les entourer.
J’ai aimé ce métier tout jeune (voir over blog étainfait main)et vous comprendrez l’amour de ce métier.
Défauts métallurgiques, non-conformités, pièces rebutées… Chaque défaut coûte du temps, de l’argent… et parfois un client.
Porosités, fissures, inclusions, traitements thermiques mal maîtrisés, ruptures inattendues… Dans l’industrie, l’erreur n’a pas sa place.
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Exemple: le Lycée du Creusot qui va terminer péniblement sa dernière année de BacPro par alternance avec ses 2 derniers élèves et puis supprimer la section faute de candidats. Sans parler de la section modelage qui a déjà fermer ses portes il y a quelques années. Dans ce métier aussi, il va y avoir un problème de main d’oeuvre.
Pour comparer il y a 15-20 ans, le lycée du Creusot recrutait en moyenne 5 personnes par an pour chaque section de modelage et de fonderie, donc 10 élèves par an. Sachant qu’à cette époque il y avait le BEP en 2 ans et le BAC PRO (ou BT) en 2 ans, il y avait donc au total une quarantaine d’élèves. Et aujourd’hui…. 2
Bonjour,qui n’a pas dit un jour « on attire pas les mouches avec vinaigre ».Le conseil que je peux dire si vous me le permettez,c’est de payer les jeunes qu’ils veulent apprendre notre beau métier,leur donner un petit salaire et je pense que le jeune sera heureux de gagner de l’argent en apprenant le métier et ça fera boule de neige.Pour vous dire s’ils resteront tous en Fonderie c’est une autre histoire.Mais c’est à ceux qui vont les former de leur faire aimer le métier et de bien les entourer.
J’ai aimé ce métier tout jeune (voir over blog étainfait main)et vous comprendrez l’amour de ce métier.