Comment ce gueux peut-il mieux prévoir le temps que mon spécialiste diplômé, grassement payé et qui m’a indiqué le contraire ? Poursuivons… Et c’est ce qu’il fit.
Mais alors qu’il arrivait au bord de la rivière, il se mit à pleuvoir à torrents.
Le roi, furieux, rentra trempé au palais, la reine se moqua de le voir en si piteux état.
De rage, il congédia son météorologue sur le champ, puis il convoqua le paysan, lui offrant le poste vacant.
Mais le paysan refusa en ces termes :
Sire, je ne suis pas celui qui comprend quelque chose dans ces affaires de météo et de climat, mais je sais que si les oreilles de mon âne sont baissées cela signifie qu’il va pleuvoir.
Du coup, le roi embaucha l’âne.
C’est ainsi que commença en France la coutume de recruter des ânes pour les postes de conseillers les mieux payés.
Et que fut créée une école sur mesure : l’École Nationale des Ânes, dont nous pouvons mesurer, tous les jours, les brillantes compétences...
A envoyer à tous nos politiques issus de cette foireuse école, pardon, je voulais écrire fameuse !