«Nous sommes redevenus une machine à cash» se réjouit le patron italien de Renault qui détaille dans une interview les raisons -baisse des coûts, montée en gamme, hausse des prix…- de ce retour à meilleure fortune.
Ainsi, malgré les pertes abyssales dues à la retraite de Russie, le constructeur renoue avec la rentabilité,
Les Echos
Félicitations et c’est tant mieux mais je maintiens :
« Wait and see » les prochaines années seront capitales.