Bientôt l’heure des choix –
6 millions de chômeurs peu ou pas qualifiés et un marché de l’emploi en mutation rapide constituent l’environnement de la réforme de la formation professionnelle .
L’apprentissage est une possibilité de formation initiale – acquisition d’un premier métier – par une voie alternative à celle de l’enseignement traditionnel. En conséquence, elle est plutôt pensée pour un public jeune afin de mieux l’intégrer sur le marché du travail.
La formation professionnelle vise essentiellement un public adulte afin de permettre à celui-ci de compléter ses compétences, d’en acquérir de nouvelles, voire de changer complètement de métier.
A qui confier la formation : le choix entre l’État, les syndicats ou le marché ?
et quels seront les objectifs ? Et les moyens ?
Face à la complexité de l’univers professionnel et la palette des formations et métiers possibles, il est impératif que l’instrument par lequel se déclenche le droit à l’acquisition de nouveaux savoirs soit simple, compréhensible par tous et rapide à mettre en oeuvre. Pour ce qui de la fonderie nous allons bien observer les choix .
on compte toujours 1,8 million de « Neet » (neither in employment, education or training), ces jeunes hors système, ni au travail, ni à l’école, ni en formation professionnelle.