L’usine métallurgique aurait accumulé les dettes malgré un carnet de commandes plein et n’aurait pas de trésorerie suffisante pour continuer à faire tourner l’entreprise.
La société aurait contracté une dette de 230 000 euros auprès de l’Urssaf.
Francis Pozas avait racheté l’entreprise, anciennement MetalTemple, en avril 2015 avec un ancien cadre. L’entreprise, alors propriété de GianPiero Cola était en cessation de paiement et une centaine d’emplois étaient menacés par un plan social.
Les deux repreneurs avaient reçu 400 000 euros d’aide de la région et du département pour acquérir la société. Francis Pozas s’était engagé à maintenir une quarantaine d’emplois.
Mais un an et demi après cet épisode, les investissements pour moderniser la chaîne de production n’ont pas été réalisés et les dettes se sont accumulées.
Les 42 salariés de Metal Aquitaine sont donc de nouveau dans l’incertitude.
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sacré Francis Pozas ! là ou il y a de la gène il n,y a pas de plaisir !
Bonjour,
Pourquoi est-ce que les entreprises françaises de fonderie ont du mal à vivre ?
Hormis les excuses classiques de « charges salariales » trop élevées?
C’est de la mauvaise gestion?
Un manque de savoir-faire Français? (un élément différenciateur)
Un manque d’investissements?
C’est triste de devoir associer la fonderie à la manufacture de textile; industrie qui peut survivre seulement dans les pays à main d’œuvre peu onéreuse.
PS : je me permets ce billet pour lancer la discussion; je ne sous entends pas que cette entreprise soit mal gérée.
Qui peut citer des fonderies passées par la case RJ qui en conservant son dirigeant s’en sont sortis ?
fonderie vincent, elle marche bien
Mr Pozas avait fermé juste avant Sambre & Meuse
L’état devrait demander les état de service des dirigeants avant de donner des subventions
et le chomage technique? surutilisé, toujours par le même type de personne (qui parle de surcharge salarial)!!