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la reprise de l’ex fonderie Gillet d’Albi en Scop au magazine de Laurent Delahousse le 13-15
Jacques Bernardi, le patron choisi collectivement par les sociétaires de la Scop après avoir été auditionné lors d’une pause déjeuner du personnel, annonce que la région accorde 80 000 euros de subventions et prête 100 000 euros à la fonderie.
« On est à la tête d’un capital d’environ 650 000 euros », précise-t-il avant d’évoquer « un élan régional derrière la Fonderie Gillet dont il faut profiter ». « Nous devons démontrer par notre engagement que c’est mérité et qu’ils ont eu raison de nous faire confiance », dit-il aux ouvriers réunis dans l’un des ateliers.
Tous engagés pour réussir
« Ce qu’on fait, on le fait pour nous, mais aussi pour pérenniser le schéma des Scop dans la région et même au niveau national », développe le nouveau dirigeant pour donner un sens plus large à l’aventure qu’ils sont en train de mener.
Après ce discours et avant de partir en week-end, toute l’équipe engagée dans la réussite du projet se donne pour mission de tout nettoyer. Certains balaient les ateliers, quand d’autres vident les vestiaires des affaires de ceux qui sont partis. Ensuite, chacun écrit son prénom sur l’étiquette de son casier personnel. Comme une signature au bas d’un contrat d’avenir.
la cloche de la Paix pour la cathédrale de Bayeux (14) (1.5 Tonne) fonderie Cornille-Havard à Villedieu les Poêles
Deux reportages sur la fonderie à la même heure un samedi sur la 1 et sur la 2… peut-être un beau signe pour la profession en ce début d’année ??
Très beau et très bon reportage sur la fonderie Gillet.
Nous ne pouvons que souhaiter bonne chance et beaucoup de courage à ces fondeurs.
Leur exemple montre bien qu’il faut un peu de folie (ou beaucoup) pour réussir en fonderie.
Bravo à toute cette équipe courageuse.
La vidéo sur la fonderie Gillet à été commentée sur de nombreux sites !!!
Il faudra m’expliquer pourquoi faut-il attendre que les entreprises soient en difficulté pour que les politiques arrivent à trouver des subventions et aides financières importantes…
Ne serait-il pas préférable de soutenir des entreprises qui sont en bonne santé , qui se développent et créent des emplois ???
Ah j’oubliais, le monde politique regarde ses intérêts en fonction des calendriers électoraux.
L’équipe de ce reportage a suivi l’aventure de ces hommes.
Boris, l’ancien adjoint de direction, a pris à bras-le-corps ce projet. C’est lui qui doit porter le dossier devant le tribunal de commerce et motiver ses collègues. Pour certains, comme Pascal, c’était un choix évident malgré le risque financier. Michel, lui, était très sceptique.
Mais il s’est lancé dans l’aventure. Simple ouvrier, il est devenu chef d’atelier et doit maintenant prendre ses responsabilités, quitte à écarter certains de ses anciens confrères. En espérant sauver leur entreprise, les ouvriers ne comptent pas leurs heures… et sont devenus leurs propres patrons. Une métamorphose inédite…
« On le fait pour nous, mais aussi pour toutes les Scop »
« On est à la tête d’un capital d’environ 650 000 euros », précise-t-il avant d’évoquer un « élan régional derrière la Fonderie Gillet dont il faut profiter ».
Très beau reportage pour ce sauvetage, avec des choses précises, exactes, des visages humains, des personnes qui ont des choses à dire.
Vraiment magnifique sujet très bien traité même sur le plan cinématographique. Courage à ces personnes.
Bravo pour l’image de la Fonderie Française! ça devrait faire rêver les jeunes!