La question des migrants n’aura pas vraiment été un thème central de la campagne présidentielle, mais les deux candidats finalistes, Marine Le Pen et Emmanuel Macron ont des visions opposées à ce sujet. A l’extrême-droite, revient régulièrement la rengaine selon laquelle « les migrants volent le travail des Français ».
Dans une usine de fonderie d’aluminium, près de Lyon, un chef d’entreprise fait exactement le pari inverse : et si employer un réfugié pouvait profiter à tous ? En concertation avec des associations d’aide aux réfugiés comme Singa ou Forum Réfugiés-COSI, trois migrants sont actuellement salariés dans son usine de la banlieue lyonnaise.
Ecoutez le reportage de Jean-Baptiste Cocagne chez AB Fonderie, à Saint-Genis-Laval :