
Les aciéries de Ploërmel (56) placées en RJ
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LABAMIE : La clé pour vos matériaux
Défauts métallurgiques, non-conformités, pièces rebutées…
Chaque défaut coûte du temps, de l’argent… et parfois un client.
Porosités, fissures, inclusions, traitements thermiques mal maîtrisés, ruptures inattendues…
Dans l’industrie, l’erreur n’a pas sa place.
LABAMIE, le laboratoire des industriels exigeants
Fonderie, forge, usinage, traitement thermique : nos clients nous sollicitent quand la matière devient critique.
Notre mission
Fort de 15 ans d’expérience industrielle, LABAMIE vous accompagne avec des analyses pointues et un suivi personnalisé pour :
Identifier l’origine des défauts
Mettre en place des actions correctives concrètes
Sécuriser vos décisions techniques et commerciales
Nos expertises
- Analyse de défaillance & expertise métallurgique
(fractographie, microstructure, fatigue, corrosion) - Caractérisation des matériaux
(acier, fonte, aluminium, cuivreux, nickel, aciers à outils, base cobalt…) - Tribologie et comportement des surfaces
(usure, frottement, lubrification) - Problématiques de mise en forme industrielle
(emboutissage, découpe, découpage fin)
→ et les problèmes d’outillage associés - Accompagnement en R&D et amélioration des procédés
- Diagnostic en cas de litige ou non-conformité client
Réactivité, clarté, indépendance, confidentialité
Contacter nous pour un devis personnalisé, une présentation de nos services ou une visite :
Margaux Marnier : +33 6 01 59 08 43
Aurélie Achille : +33 6 64 05 30 00
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Rappel sur l’histoire des aciéries de Ploërmel
Suite à son retrait (1880) de la société Thomé-Génot qu’il avait fondée (1863) avec son beau-frère louis-Gustave Thomé (1816-1892), Auguste Génot s’associe à son gendre Victor Clairdent (1848-1939).
A Nouzonville, en bordure de Meuse, ils font édifier (1889) une usine concurrente et spécialisée dans la fabrication des ferrures pour les chemins de fer, la marine et l’artillerie. Cette activité de forge et d’estampage est reprise par Paul Thomé (1885-1975), petit-fils de L.-G. Thomé, en 1926.
Il la modernise, y introduit la production de boulets de broyage, et l’intègre à la nouvelle société des Aciéries Thomé-Cromback en plein essor.
Avec l’aide de son beau-frère Pierre Cromback (1879-1930), P. Thomé est en train de bâtir par étapes un groupe industriel.
A proximité, il fait édifier une aciérie en 1930, réplique de celle qu’il a vue à Philadelphie (EU).Sa réalisation est confiée à l’ingénieur Chansoux. Ce long vaisseau constitue la nouvelle usine-mère du groupe Thomé-Cromback.
En 1939, elle se replie à Ploërmel (Morbihan). Après la seconde guerre mondiale, elle devient une unité juridiquement autonome. Durant les Trente Glorieuses, les deux aciéries sont modernisées (fusions électriques et chantiers de moulage automatiques).
En 1968, la production des aciéries de Nouzon passe de 250 tonnes mensuelles à 700, pour un effectif presque constant de 300 salariés. Elles emploient plus de 1000 ouvriers en 1978 dans six sociétés en France dont trois dans les Ardennes. Les Aciéries Thomé-Cromback ferment une première fois en 1996, connaissent une reprise provisoire, pour cesser définitivement leur activité en 2007.
Alors que Ploërmel a poursuivi son activité, l’aciérie de Nouzonville s’est arrêtée en 1997, après avoir été reprise par le groupe italien Valbruna.