Comme attendu, le groupe Ascometal a demandé au tribunal de commerce de Strasbourg lundi le placement en redressement judiciaire du holding du groupe et de sa filiale opérationnelle Asco Industries.
Le tribunal devrait avaliser la procédure mercredi et nommer l’administrateur judiciaire. La société, qui cherche à s’adosser à un industriel, a déjà reçu plusieurs lettres d’intention. Le suisse Schmolz-Bickenbach a confirmé son intérêt.
Laisser un commentaire
Dernières publications
Lancement de la boutique en ligne Centenaire ESFF / Livre Héritiers du Feux
Lien Livre Centenaire ESFF, Les Héritiers du Feux = Livre du centenaire – Amicale des […]
Le ministre de l’Industrie à la Fonderie de Bretagne mercredi
Le ministre de l’Industrie à la Fonderie de Bretagne mercredi Le ministre de l’Industrie, Marc […]
la compétence sans visibilité, c’est comme un phare… éteint.
Communication AAESFF PIWI Vous êtes peut-être 𝐞𝐱𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞𝐧𝐭 dans ce que vous faites. Mais si vos […]
On peut reparler français ?
Philippe V. Gérant & Architecte “On fait un quick call pour aligner le scope du […]
Réinventer l’identité même de Michelin.
125 ANS à vendre exactement le même produit. Puis un virage à 180° qui choque […]
La Fonderie de cloches Cornille Havard
La Fonderie de cloches Cornille Havard, l’une des trois dernières en activité en France Installée […]
Journée d’action régionale Ouest ATF-AAESFF du 26 Avril 2025.
Journée d’action régionale Ouest ATF-AAESFF du 26 Avril 2025. Le groupe Ouest s’est retrouvé à […]
La FONDERIE VINCENT entreprise familiale fondée en 1880
Marie-Hélène Nougarede • Chargée de mission création et artisanatC La FONDERIE VINCENT est une entreprise […]
Alsace : le dernier fondeur de cloches
Daniel Higlister est le dernier fondeur de cloches d’Alsace Un apprentissage sur le tas […]
La Chine voit grand pour le Maroc
Kiosk – Automobile, énergie, croissance : (Xinhua) 12 mai 2025 Dans l’usine ultramoderne de […]
Le sidérurgiste Ascometal cherche un repreneur
La société ASCOMETAL, qui emploie 1500 personnes sur 3 sites, spécialiste des aciers pour l’automobile, les roulements, la mécanique et le pétrole/gaz, a été placée en dépôt de bilan suite à ses difficultés financières. Les acteurs économiques ont bon espoir de trouver un repreneur. Certains se seraient déjà manifestés.
Ascometal siderurgiste depot de bilan
Les produits d’Ascometal
ASCOMETAL produit et commercialise 3 grandes familles d’aciers :
Les demi-produits non-laminés (coulée continue, lingots)
Les produits laminés à chaud (bloom et billettes, largets, barres, fils, …)
Les produits transformés à froid (barres écroutées, barres rectifiées, fils tréfilés, pièces semi-ouvrées)
Les spécialités d’Ascometal
ASCOMETAL dispose d’une gamme complète d’aciers au carbone et d’aciers alliés satisfaisant aux exigences des normes et standards nationaux et internationaux. Au-delà de ces nuances classiques, optimisables pour des cahiers des charges client aux impositions spécifiques, ASCOMETAL propose également une large gamme de produits de spécialités, répondant aux spécificités les plus sévères de chaque secteur d’activité et issus de ses programmes de R&D : JOMASCO, METASCO, SPLITASCO, VITAC, SUPERVITAC, ASCOFLEX, ASCOWELL, ASCOROC, ENDURASCO, NITRASCO.
Plus de 1500 personnes sur 3 sites
Le groupe sidérurgique français, en grandes difficultés financières, a demandé l’ouverture d’une procédure de placement en redressement judiciaire auprès de la chambre commerciale du TGI de Strasbourg, et le groupe suisse Schmolz-Bickenbach a annoncé avoir fait une offre pour reprendre ses actifs.
Détenue par un consortium d’investisseurs majoritairement français, Ascometal fabrique des aciers spéciaux (pour la mécanique, l’automobile, l’industrie des hydrocarbures) et emploie près de 1.550 salariés sur ses trois sites en France, Hagondange (Moselle, maison-mère), Dunkerque (Nord) et Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône).
Ancienne filiale d’Usinor
Cette ancienne filiale d’Usinor, avait déjà été placée en redressement judiciaire en 2014, avant d’être reprise par Frank Supplisson, associé à des investisseurs français et européens, sous la houlette du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg. Mais l’entreprise – qui compte parmi ses clients Renault, Bosch, Fiat, Toyota, BMW ou la SNCF – n’est pas parvenue à rebondir.
Source : http://www.france3-regions.francetvinfo.fr