Le cadre de l’acceptation des premières pièces types (EI, PTM, PTG …),
Les zones courantes pouvant accepter des niveaux de défauts caractérisés,
Les zones désignées qui ne peuvent pas accepter de défauts ou alors dans une moindre mesure,
Les essais par typologie (traction, dureté, …) et les valeurs limites,
Les contrôles non destructifs (CND tels que radiographie X, ressuage, …) avec les plans de tirs et le niveau de criticité,
Les normes applicables par chapitre de contrôle,
Les éprouvettes attenantes au système de coulée,
Les plans de dissection mécanique ainsi que les plans de prélèvements à contrôler au cours de la série lorsqu’ils sont différents de 100%.
Avec ce type de documents, les bruts de fonderie déclarés non conformes sont automatiquement sortis au plus tôt du flux évitant ainsi toute valeur ajoutée inutile (traitement thermique, usinage, traitement de surface, montage …). Pour autant, chaque industrie pourrait s’inspirer de ces bonnes pratiques pour maîtriser les coûts de non qualité et surtout détecter dès que possible une malfaçon lors du process. L’objet n’est pas de dire qu’il faille reproduire à l’identique les méthodes de l’aéronautique ou des industries de défense mais de s’en inspirer autant que possible pour optimiser l’efficacité du process de fonderie. Un cahier des charges adapté à votre industrie et décrivant votre référentiel d’acceptation représente l’assurance de ne libérer que les pièces conformes et surtout de détecter et d’isoler celles qui sont non conformes.
SOLUTION DÉVELOPPÉE PAR CTIF
Dans le cadre de son produit DesignToCast®, CTIF a mis au point une série d’outils méthodologiques pour que ses clients puissent maîtriser les cahiers des charges et les intégrer dans les liasses de définition des pièces. L’intérêt de ces outils est d’adapter les contrôles et maîtriser la chaîne de valeur afin de limiter le coût de possession de la pièce finie. Un déplacement à l’international d’un responsable qualité coûte surement plus cher qu’un cahier des charges. La notion de coût total de possession prend ici toute sa dimension et sa valeur. En fonction des typologies de pièces, du type d’alliage, des caractéristiques mécaniques attendues et de la criticité des pièces, CTIF sait bâtir des documents qui vont assurer aux concepteurs, acheteurs, qualiticiens et producteurs que les pièces entrant dans la chaîne de fabrication sont conformes à un référentiel qui aura été défini à l’avance. Trop souvent nous entendons que les pièces de fonderie ne sont pas conformes. Certes, mais par rapport à quel référentiel ? C’est tout l’objet du cahiers des charges.
C’est cette démarche coordonnée que propose CTIF pour que la fiabilité de la fabrication des pièces de fonderie apporte une rentabilité optimale aux projets de ses clients.
Contact : Alain JUPIN
Responsable du Développement Régional – Ouest
CTIF Antenne Commerciale de Rennes
Téléphone : +33 (0)6 07 59 01 18