à La Pouëze. | Ouest-France
Jérôme Gallard, directeur général de Fonderie d’Anjou, à La Pouëze. Jérôme Gallard, directeur général de Fonderie d’Anjou,
L’entreprise, spécialisée dans la fonderie de métaux légers, lance un appel aux élus du territoire
Fonderie d’Anjou, à La Pouëze, se porte bien. Les vingt-huit salariés sont presque tous en contrat à durée indéterminée (CDI). Les marchés sont là. Mais les locaux, situés à l’entrée du bourg, route de Saint-Clément, commencent à vieillir et deviennent trop petits. « Il est clair qu’aujourd’hui, en termes de chiffre d’affaires, je pourrais augmenter assez facilement de 10 % », affirme Jérôme Gallard, le directeur.
Investir un atelier relais
Il souhaite donc investir un atelier relais en partenariat avec une commune ou une intercommunalité. L’entreprise payerait alors un loyer à l’intercommunalité et conserverait sa capacité d’emprunt auprès des banques pour investir dans les machines.
Trois embauches à la clé
L’entrepreneur lance donc un message aux élus de la communauté de communes : « L’idée est qu’on se mette autour d’une table pour voir s’il y a des choses qui sont possibles. Dans des locaux plus grands, trois embauches pourraient être réalisées rapidement. »