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Voici à quoi ressemble la nef de la cité du cinéma de Luc Besson à côté de la tour Pleyel – Siemens
La structure originelle de cette ancienne centrale thermique d’ EDF à Saint Denis a été conservée avec ses traces d’oxydation et de patine stabilisées.
La nef (comme celle d’une cathédrale se visite le dimanche) et sa turbine sont les vestiges du passé industriel de ce site inauguré ce week-end.
La cité du cinéma de Luc Besson a été conçue pour intégrer l’ensemble des métiers de la création d’un film de l’écriture à la projection de l’œuvre en passant par la fabrication des décors et costumes, le tournage et la post production
Si l’ensemble immobilier s’organise autour de cette nef magistrale de 4500 m2 à l’ossature baignée de lumière, on peut imaginer que ça ne va pas être facile à chauffer.
En tous les cas pour notre prochaine AG de Fondeurs on choisira le printemps.
Catégorie :
Evènements
Une friche industrielle revisitée
Bonjour Patrick,
j’espère que vous allez bien… ? Moi j’ai enfin fini le scénario, la semaine dernière!!! j’ai profité de l’été pour faire aboutir le script; le titre est « matière première »…
je vous remercie vraiment pour votre aide car les visites m’ont inspirées et votre connaissance du métier m’a aidée à ancrer le film dans un contexte original, concret, actuel et… un peu magique 😉
Donc, finalement, le personnage principal du film est un puissant industriel de la fonderie.
Il est probable que le tournage se déroule en région Poitou-Charentes et tout particulièrement aux alentours d’Angoulême, où l’on cherche les décors en fonction du scénario.
Comme je vous l’avais dis, j’ai un coup de cœur pour la fonderie Leroy-Somer dont l’extérieur est très graphique et évoque visuellement le symbole du film qui est le fil rouge. (voir photo)
j’aimerais bien entrer en contact avec les personnes adéquates là-bas pour voir si éventuellement un tournage y serait possible. Savez-vous à qui je peux m’adresser, peut-être par votre intermédiaire ? au cas où, je vais être sur place à Angoulême la semaine du 8 et la semaine du 22 octobre, on ne sait jamais… pour organiser un rendez-vous et/ou une visite.
Mais de notre côté, on pourrait se voir si vous en avez le temps, je vous raconterais où on en est du film. la semaine du 1er octobre je suis à Paris.
Agathe voulais aussi vous remercier, ça serait l’occasion de se revoir tout les 3 ensemble.
Qui peut pour la bonne cause m’aider à aider cette réalisatrice ?
Dates clés du projet
• 2002 : Luc Besson souhaite faire de cette ancienne centrale EDF un « Hollywood à la française »
• 2006 : acquisition du terrain par EuropaCorp Studios
• 2007 : le projet est suspendu faute de financement
• 2008 : la Caisse des Dépôts et VINCI Immobilier décident d’investir dans la réalisation des surfaces tertiaires, à travers la SAS Nef Lumière
• Mai 2009 : signature des ventes en état futur d’achèvement, contrats de promotion immobilière et baux en état futur d’achèvement
• 26 mars 2010 : début des travaux
• 6 avril 2012 : livraison de la Cité du Cinéma
• 21 septembre 2012 : inauguration
une réponse,une proposition : »Suite au message sur ton blog, tu peux donner les références de
Monsieur James Ragonnaud
Responsable fonderie
Tel 05.45.64.52.69
james.ragonnaud@emerson.com
Je le connais bien et il m’ étonnerait qu’ il puisse y avoir problèmes «
Vendredi 21 septembre avait lieu l’inauguration officielle de la Cité du Cinéma, nouveau pôle dédié au 7e art et lieu unique en France, réunissant sur 62 000 m², l’ensemble des métiers du cinéma : de l’écriture du scénario à la post production en passant par la fabrication des décors et le tournage.
Ce nouveau complexe cinématographique représente, pour la France, premier producteur de films en Europe, un site d’exception, à l’instar des studios hollywoodiens aux Etats-Unis ou de Cinecitta en Italie. Associé à Europacorp, Frontline et Quinta Communications, EMF opère la gestion commerciale et technique des 9 plateaux implantés au cœur de la Cité du Cinéma.
et clap de fin pour Arpajon
Après 25 ans d’activités et 120 longs-métrages au compteur, ( La Cité des enfants perdus , OSS 117 , L’homme au masque de fer , Bienvenue chez les Ch’tis …) les studios d’Arpajon ont fermé leurs portes pour laisser place aux nouvelles infrastructures des Studios de Paris (Cité du Cinéma). Basés à Saint-Germain lès Arpajon et construits en 1986 dans des anciens entrepôts de pommes, les 8 plateaux (de 400 m² à 1 300 m²) ont accueilli de nombreux réalisateurs français tels que Jean-Pierre Jeunet, Alain Renais, Albert Dupontel, Claude Miller ou encore Patrice Leconte.