Ouest France :
L’entreprise de machines à bois de Domfront a été placée en redressement judiciaire le 4 janvier, pour une durée de six mois. Les repreneurs avaient jusqu’au 14 mars pour se faire connaître. Seule une offre concernant l’atelier fonderie avait alors été déposée. Une audience s’est déroulée lundi 16 avril au tribunal de commerce d’Alençon. « Une offre qui concernerait tout le site, à savoir les machines à bois et la fonderie, pourrait être déposée la semaine prochaine. Donc le tribunal a décidé le renvoi de l’affaire au 14 mai prochain », explique Jean-Luc Favrie, du comité d’entreprise. Une date à laquelle les 76 salariés sauront de manière définitive si Lurem peut être reprise.
En ce qui concerne les machines à bois combinées, LUREM est certainement n°1 dans ce domaine et tous les petits ateliers de menuiserie français en possèdent une. Espérons une reprise saine c’est-à-dire ne donnant pas lieu à une délocalisation…