In extremis. L’espoir renaît pour les salariés d’Ascometal, après l’audience de ce vendredi à la chambre commerciale du tribunal judiciaire de Strasbourg (Bas-Rhin).

En dépit d’une mise en délibéré du jugement au 8 juillet, lendemain du deuxième tour des élections législatives, le soutien de l’Etat a finalement été confirmé à la dernière minute pour appuyer la seule offre de reprise encore en lice pour le groupe, placé en redressement judiciaire fin mars. Jeudi soir, « c’était la panique à bord », raconte une source syndicale.