La fonderie et Piwi

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Par : piwi
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jeudi 26 Juil, 2018

Zone de commentaire !

4 commentaires pour : "607 jours au chômage"

  1. Mais au fait qui va inverser la courbe ?
    Certainement aucun et ce sujet est devenu un facteur économique que l’on commente de moins en moins !

    Nous sommes installés, bon an mal an, à un niveau d’ ~ 3 millions de chômeurs, satisfait de nous.

    Pourtant nous savons que différents secteurs économiques restent en manque de ressources pour combien, 500 000, 1 million ou plus ?

    Des économistes ont déjà dit qu’en diminuant fortement ce problème du nombre de chômeurs nous rêglerions bien des difficultés dans nos secteurs sociaux en difficultés.

    Cela ne semble plus être un priorité et c’est très affligeant pour les années à venir.
    En avons-nous les moyens, bien sûr que non, c’est autant que nous n’investirons pas dans des secteurs qui peuvent nous apporter de la croissance.

  2. 3,750 millions de chômeurs serait le chiffre précis et officiel.

    Le cap des trois millions a été franchi sous Rocard et ce passage devait faire sauter n’importe quel gouvernement.

    Piwi a proposé depuis 1973 son appui aux chômeurs de la fonderie d’abord au SGFF puis avec Jobfond, le minitel, de l’ Amicale, à l’ ATF aussi, et aujourd’hui encore avec ce blog.

    Piwi n’a pas souvent rencontré de fondeurs ayant trouvé un emploi grâce à l’ANPE ou à Pôle emploi maintenant dont la mission demeure nécessaire.

    Piwi comme le colibri continue et prend encore sa part.

  3. C’est extra ordinaire mais je connais un grand nombre de fonderies et de forges qui n’arrivent pas a recruter des personnels qualifiés de maintenance. Les technologies de base tels que la mécanique, hydraulique ou électrique n’intéressent plus nos jeunes.

  4. Chez nous aussi : difficile de trouver du personnel de maintenance.
    Faut dire qu’en fonderie, avec la chaleur, la saleté, etc, il faut avoir la foi. Et accepter de travailler les samedi, les RTT (tous des jours de maintenance).

    Ca ne fait pas rêver, et bien que l’on trouve encore quelques jeunes apprentis-alternants motivés, je ne sais pas s’ils accepteront toute leur vie ces conditions de travail. Les temps ont changés, les mentalités aussi (ce n’est pas un jugement, simplement un constat).

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