Épreuves qualificatives – Selon le Catalan –
Les candidats au 26ème concours « Un des Meilleurs Ouvriers de France » ont commencé dans les différentes spécialités leurs épreuves qualificatives ! Ce vendredi 27 octobre 2017, s’est déroulée l’épreuve qualificative de la classe « fonderie d’art » au CFA de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat des Pyrénées-Orientales.
L’examen dénommé « Concours un des Meilleurs Ouvriers de France », permet de reconnaitre l’excellence professionnelle concrétisée par l’attribution du Diplôme d’État « UMOF», délivré par le ministère de l’Éducation Nationale.
Le jury était présidé par Jean Dubos, Meilleur Ouvrier de France, qui exerce ses responsabilités sous l’égide du Comité d’Organisation des Expositions du Travail et du concours « un des Meilleurs Ouvriers de France » (COET-MOF).
Jean Dubos a dirigé la fonderie de Coubertin jusqu’à son départ à la retraite.
Ce comité est le garant de l’éthique propre à ce concours unique défini par des conditions, des modalités et des référentiels dont le but est d’exiger le haut niveau de l’excellence professionnelle du métier.
Dix candidats concouraient lors de cette épreuve qualificative. Ils devaient établir un dossier comprenant leur parcours ainsi que des photographies de différentes réalisations en bronze. Le dossier devait être complété par la description d’une statuaire de 50-55 cm de haut. Deux options étaient proposées.
Pour l’option « fonte au sable », la statuette représente un sportif grec, personnage en légère torsion, bras droit légèrement levé vers l’arrière, main gauche sur le genou droit, visage regardant la main droite corps courbé vers le haut.
Pour l’option « cire perdue », la statuette représente une figure debout drapée de l’art grec, personnage sans tête avec deux ailes dans le dos. Pour les deux options, les statuettes sont réalisées à partir d’un modèle en plâtre (schéma de principes, méthodes, étapes …)
La fin des évaluations fût marquée par la présence de différentes personnalités :
Edwige Darracq, Directrice de Cabinet représentant M. le Préfet des Pyrénées Orientales, Robert Bassols, Président de la CMA66, Joël FILHOL, représentant le Crédit Agricole Sud Méditerranée, Stéphane Antoni représentant le COET-MOF, Jean Dubos, MOF président de Classe « fonderie d’art », Bernard Cazes, MOF délégué départemental du COET-MOF, David Peytavi, délégué départemental adjoint, Gérard Vallverdu, vice-président AFDET-LR, Stéphane Bouils, Directeur du CFA de la CMA66, les jurys de l’épreuve.
La manifestation a été clôturée par un exposé de grande qualité proposé par le Président de la Classe, Jean Dubos, sur l’histoire et l’évolution de la fonderie d’art en France.
Merci Patrick de nous donner des nouvelles de Jean DUBOS, un fondeur particulier dans ce métier.
Compagnon chaudronnier, je crois, il a commencé à couler dans un hangar avec Jean BERNARD.
A l’époque où il était responsable de la fonderie, l’accès à cet atelier était facile, disons.
Aujourd’hui, l’atelier est fermé pour la visite à cause de la confidentialité.
Comment présenter et faire aimer ce beau métier aux jeunes ?
J’ai eu beaucoup de plaisir à croiser Jean DUBOS.
Je peux en parler du concours du meilleur ouvrier de FRANCE,en 1961 on m’a volé mon titre.
La raison était simple,la chambre des métiers de SAINT-ETIENNE (42) a pistonnée celui qui devait être disqualifié coupable de tricherie.
Dans le règlement il était dit de faire le modèle à la trousse et le FAUX meilleur ouvrier de France avait fait le carter à 5 sorties avec des gabarit car il était incapable de faire une planche à troussée et en plus tenez vous bien,nous devions faire une division par 5 pour imprimer cinq fois le modèle bois de sortie d’air que Paris nous avait envoyé et le FAUX meilleur ouvrier de France avait coulé 4 plâtres pour éviter la division.Voilà à cette époque comment on devient un meilleur ouvrier de France.(REGARDEZ SUR DECLARATION.HAUTETFORT.COM) Faire la trousse il fallait connaître son métier sur le bout des doigts.Je vous laisse seul juge pour porter un jugement, si vous êtes capable ?
Je souhaite de tout coeur que PIWI ne mettra pas la censure sur la vérité. Je sais très bien qu’elle n’est pas bonne à dire.
Je me répète,il y a eu tricherie en 1961 avec la complicité de la chambre des métiers.
(piwi publie)
MONSIEUR PATRICK,je vous remercie sincèrement pour avoir mis mon commentaire sur Fonderie et Piwi sur l’injustice que j’ai subi aux concours des meilleurs ouvriers de France en 1961,cela m’a fait énormément plaisir. »un grand MERCI
« HAUT LES COEURS « PW