Travaillant étés comme hivers aux FAP, j’ai pu comprendre ce que valait 10 francs (et oui je ne suis plus tout jeune) et j’ai pu payer mon permis et contribuer à financer mes études.C’est aux FAP,
que j’ai découvert l’existence de l’Ecole Supérieure de Fonderie et de Forge – ESFF et le cursus pour y entrer, comme le BTS Fonderie du LYCEE POLYVALENT HECTOR GUIMARD.
C’est à l’ESFF que j’ai rencontré ma femme, Caroline Scavio, et si j’ai ce que j’ai aujourd’hui, c’est grâce aux excellents professeurs et enseignants qui ont cru en moi (et à un peu de travail aussi 😉).
Oui, la fonderie m’a tout donné et aujourd’hui elle nous permet d’élever du mieux possible nos deux trésors.
Cette année, l’ESFF fête ses 100 ans, tout comme bientôt le lycée Hector Guimard, qui m’ont appris ce métier exigeant.
Ce samedi, nous étions au JFFF avec la grande famille de la fonderie. Un grand rassemblement que même Patrick Wibault, fondateur du blog « 𝑳𝒂 𝒇𝒐𝒏𝒅𝒆𝒓𝒊𝒆 𝒆𝒕 𝑷𝑰𝑾𝑰 », exprimait ne jamais avoir vu dans un discours rempli d’émotion.
Ce métier n’est pas mort, il est partout, n’est-ce pas Mourad Toumi, Job Placement ForgeFonderie AAESFFJérôme Horville?
Bravo à tous les bénévoles pour l’organisation de ce magnifique événement du centenaire. Même si l’orage a chamboulé la soirée, il n’a pas gâché la fête. Quel plaisir de vous revoir tous à chaque fois !
Une rencontre de plus de 500 personnes de tous âges et toutes nationalités, qui prouve bien qu’il fait bon vivre ensemble.
Nos pitchounes se sont fait de nouveaux copains et copines, et qui sait… peut-être qu’elles seront là ensemble pour fêter les 120 ans !
La fonderie m’a nourri depuis mon enfance grâce à mon père, mouleur noyauteur aux FAP (Fonderies et Aciéries de Provence) :