Voici donc la version rectifiée de mes vœux, qui remplace la précédente, et qui est en conformité avec le principe de précaution inscrit dans la Constitution.
Je vous prie d’accepter, sans aucune obligation implicite ou explicite de votre part, mes vœux à l’occasion du solstice d’hiver et du premier de l’an, en adéquation avec la tradition, la religion ou les valeurs existentielles de votre choix, dans le respect de la tradition, de la religion ou des valeurs existentielles des autres, ou dans le respect de leur refus, en la circonstance, de traditions, religions ou valeurs existentielles, ou de leur droit de manifester leur indifférence aux fêtes populaires programmées.
Ces vœux concernent plus particulièrement :
la santé, ceci ne supposant de ma part aucune connaissance particulière de votre dossier médical, ni d’une quelconque volonté de m’immiscer dans le dialogue confidentiel établi avec votre médecin traitant ou votre assureur avec lequel vous auriez passé une convention obsèques,
la prospérité, étant entendu que j’ignore tout de la somme figurant sur votre déclaration de revenus, de votre taux d’imposition et du montant des taxes et cotisations auxquelles vous êtes assujetti ;
le bonheur, sachant que l’appréciation de cette valeur est laissée à votre libre arbitre et qu’il n’est pas dans mon intention de vous recommander tel ou tel type de bonheur.
Nota Bene :
Le concept d’année nouvelle est ici basé, pour des raisons de commodité, sur le calendrier grégorien, qui est celui le plus couramment utilisé dans la vie quotidienne de la région à partir de laquelle ces vœux vous sont adressés. Son emploi n’implique aucun désir de prosélytisme. La légitimité des autres chronologies utilisées par d’autres cultures n’est absolument pas mise en cause.
> Notamment :
- le fait de ne pas dater ces vœux du yawm as-sabt 1 Safar de l'an 1434 de l'Hégire (fuite du Prophète à Médine) ne constitue ni une manifestation d'islamophobie, ni une prise de position dans le conflit israëlo-palestinien ; > > - le fait de ne pas dater ces vœux du 2 Teveth 5773, ne constitue ni un refus du droit d'Israël à vivre , ni le délit de contestation de crime contre l'humanité ; > - le fait de ne pas dater ces vœux du 3ème jour (du Chien de Métal) du 11ème mois (Daxue, Grande Neige) de l'année du Dragon d'Eau, 78ème cycle, n'implique aucune prise de position dans l'affaire dite "des frégates de Taïwan" ; le fait de ne pas dater ces vœux du Quintidi de la 3ème décade de Frimaire de l'an 221 de la République Française, une et indivisible, ne saurait être assimilé à une contestation de la forme républicaine des institutions.
Enfin, l’emploi de la langue française ne sous-entend aucun jugement de valeur.
Son choix tient au fait qu’elle est la seule couramment pratiquée par l’expéditeur.
Tout autre idiome a droit au respect tout comme ses locuteurs.
Clause de non responsabilité légale :
> En acceptant ces vœux, vous renoncez à toute contestation postérieure. > Ces vœux ne sont pas susceptibles de rectification ou de retrait. > Ils sont librement transférables à quiconque, sans indemnités ni royalties. > Leur reproduction est autorisée. > Ils n'ont fait l'objet d'aucun dépôt légal. Ils sont valables pour une durée d'une année, à la condition d'être employés selon les règles habituelles et à l'usage personnel du destinataire.
A l’issue de cette période, leur renouvellement n’a aucun caractère obligatoire et reste soumis à la libre décision de l’’expéditeur.
Ils sont adressés sans limitation préalable liée aux notions d’âge, de genre, d’aptitude physique ou mentale, de race, d’ethnie, d’origine, de communauté revendiquée, de pratiques sexuelles, de régime alimentaire, de convictions politiques, religieuses ou philosophiques, d’appartenance syndicale,susceptibles de caractériser les destinataires.
Leurs résultats ne sont, en aucun cas, garantis et l’absence, totale comme partielle, de réalisation n’ouvre pas droit à compensation.
En cas de difficultés liées à l'interprétation des présentes, la juridiction compétente est le Tribunal habituel du domicile de l'expéditeur. Après ce préambule je me permets de vous adresser mes vœux.
La vie est de plus en plus simple…(mais à couté 200 € d’honoraires pour un quart d’heure de « conseils »)
merci à Claude Renault qui avait ainsi rectifié ses propres vœux.
Avons bien reçu et pris note du rectificatif ….oh combien indispensable ! …des vœux que vous nous aviez envoyés et qui risquaient certes, de vous emmener…je n’ose y penser.. dans une situation…disons très délicate pour ne pas dire plus…(oh la la…j’en frissonne) …sur le plan juridique !.
Il était temps…vraiment temps de rectifier !!et vous avez ainsi, disons …je l’espère, évitez le pire !! (Oh Madone, que..mais que… d’inconscience !!)
En ce qui nous concerne, nous vous renouvelons les nôtres, sans avoir omis de prendre auparavant, bien évidemment, toutes les précautions qui s’imposent !