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Cela promet maintenant un avenir certain, à court ou moyen terme, aux véhicules électriques et autres machines nécessitant un stockage d’électricité. Qu’en pense Joël Le Gal
Pour moi, comme le dit si bien le titre, il s’agirait effectivement d’un miracle.
Depuis plus de 40 ans, les Centres de Recherches des Constructeurs et des Equipementiers cherchent à faire des batteries avec plus d’autonomie de fonctionnement dans un volume plus faible que les batteries de départ Plomb Acide. L’aboutissement tout récent a été l’arrivée des batteries type Li-ion qui présentent des énergies massique en Wh/Kg et volumique en Wh/l multipliées par 3 environ.
Et voilà qu’en tripotant les électrodes et l’électrolyte d’une batterie Li-ion classique, on multiplierait par 10 l’énergie massique, et on diviserait par 10 le temps de charge. MIRACLE, MIRACLE!
On notera que dans l’article, toutes les informations sont au conditionnel.
Cela me rappelle deux souvenirs professionnels:
– Le moteur à eau qui ne pouvait pas marcher, l’eau n’étant pas un carburant. (En plus, selon moi, l’eau éteignait les bougies …)
– Le moteur à foin (Un patron de Renault avait dit: »S’il suffit de jeter une poignée de chiendent dans le réservoir pour faire effectivement tourner le moteur devant moi, je me fais moine »). Le moteur à foin était une expression choc pour désigner un moteur alimenté en carburant synthétique, obtenu par transformations de résidus agricoles dont le foin.