…pour faire du tourisme un pilier économique de la croissance française, notamment à Paris…
Sa vie est un combat. Son combat c’est un sourire.
Ce sourire est une souris, une toute petite souris : blanche, innocente, discrète.
Discrète mais pourtant là, présente, obsessionnelle, proliférante.
Ce « sourialiste » militant de l’instant du bonheur gratuit, partagé, échangé nous l’avons rencontré à Paris lors de l’inauguration de la statue d’Antoine Louis Barye : Le lion et le serpent.Il s’était invité sur la photo officielle après avoir déposé au seuil du piédestal,
ses souris en plâtre qu’il nous faudrait, nous fondeurs, pérenniser dans le bronze ou la fonte.
Là où le besoin est le plus criant, le plus urgent, là où les crispations des cœurs, des rancoeurs, des rancunes créent des tensions des conflits, notre artiste veut agiter son petit drapeau blanc, son combat sa petite souris, sa vie : il s’appelle Kees van Dijk. et nous l’avions rencontré dans les vignes de Collioure repeinte à la bouillie bordelaise façon Klee.