Les Echos : Olivier Ducuing Correspondant à Lille .
Le fabricant de bogies, propriété du russe UVZ, est victime du rouble et de l’embargo.
En redressement judiciaire depuis octobre dernier, le fondeur de pièces de châssis de wagons, en grande difficulté, tarde à payer les salaires depuis deux mois, une situation qui a entraîné un accès de fièvre sociale et une grève, désormais levée.
Les 270 salariés redoutent désormais un plan social lourd. La période d’observation prend fin le 16 mars.